Selon l'organisme, la condamnation d’Ali Salman, mardi 16 juin 2015, à quatre ans de prison pour incitation à la désobéissance et à la haine, illustre le mépris flagrant des autorités bahreïnites à l’égard du droit à la liberté d’expression.
"Ce jugement est choquant. C’est un nouvel exemple du mépris que nourrit Bahreïn à l’égard de ses obligations internationales. Cheikh Ali Salman a été condamné uniquement pour avoir exprimé ses opinions sans violence", a déclaré Said Boumedouha, directeur adjoint du programme Afrique du Nord et Moyen-Orient d’Amnesty International.
"Ce jugement est choquant. C’est un nouvel exemple du mépris que nourrit Bahreïn à l’égard de ses obligations internationales. Cheikh Ali Salman a été condamné uniquement pour avoir exprimé ses opinions sans violence", a déclaré Said Boumedouha, directeur adjoint du programme Afrique du Nord et Moyen-Orient d’Amnesty International.