En 2015, le bac comptabilisait 1 million de candidats et 4 millions de copies. Photo (c) Wilson Dias / ABr.
Pour les élèves, rien ne change. Ils arrivent en salle d’examen, signent la feuille d’émargement, découvrent le sujet et écrivent à l’encre sur une feuille double format A4. A la fin de l'épreuve, le surveillant ramasse les copies.
C’est ensuite que les choses changent. Avec le nouveau système, plus besoin pour le correcteur d’aller chercher son paquet de feuilles au centre d’examen et plus de risque de perdre de copies. A la sortie de l’épreuve, elles sont aussitôt numérisées et anonymisées. Elles sont ensuite stockées sur une plateforme numérique sécurisée, où les données sont cryptées.
Devant son ordinateur, le correcteur se connecte à l’interface et les organisateurs de l’examen lui affectent un lot de copies. C’est avec la souris qu’il surligne, barre, glisse des commentaires et note. Une messagerie instantanée lui permet de communiquer avec les autres correcteurs pour demander une double correction et croiser les points de vue.
Pour l'AEFE, l’intérêt est d'harmoniser le système de notation, mais surtout de réduire les coûts de l’examen. Même si pour l’instant, le ministère de l’Éducation nationale n’a pas avancé de date pour élargir ce dispositif à la France métropolitaine, la correction des copies du bac fait son entrée dans la modernité.
C’est ensuite que les choses changent. Avec le nouveau système, plus besoin pour le correcteur d’aller chercher son paquet de feuilles au centre d’examen et plus de risque de perdre de copies. A la sortie de l’épreuve, elles sont aussitôt numérisées et anonymisées. Elles sont ensuite stockées sur une plateforme numérique sécurisée, où les données sont cryptées.
Devant son ordinateur, le correcteur se connecte à l’interface et les organisateurs de l’examen lui affectent un lot de copies. C’est avec la souris qu’il surligne, barre, glisse des commentaires et note. Une messagerie instantanée lui permet de communiquer avec les autres correcteurs pour demander une double correction et croiser les points de vue.
Pour l'AEFE, l’intérêt est d'harmoniser le système de notation, mais surtout de réduire les coûts de l’examen. Même si pour l’instant, le ministère de l’Éducation nationale n’a pas avancé de date pour élargir ce dispositif à la France métropolitaine, la correction des copies du bac fait son entrée dans la modernité.