L’Ame de Bueno
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Passionnée par les voyages, Sabrina Bueno, d’origine franco-bolivienne a exploré, au fil de ces pérégrinations, ce que les merveilles du monde suscitaient en elle de plus profond. « C’est un véritable analyse, avoue-t-elle, pour ne garder véritablement en soi aucun stéréotype, aucune image vulgarisée, dépouillant instantanément de l’aspect des voyages, une vision bien plus profonde, un langage intime qu’ont exprimées mes mains à travers la peinture. Je n’avais, pour attache à l’art picturale, qu’un long et silencieux apprentissage auprès de talentueux peintres de toutes origines dont, en fait, la philosophie m’a servie, nettement plus tard, à définir mon style, à exprimer mon travail au sens propre du terme ».
Alors Bravo Bueno, car le soleil méditerranéen, a fait explosé Sabrina qui, installée à Cannes, l’a lancé sur la voie éclairée de la création.
Sa collection est surprenante et la sélection des œuvres qu’elle expose « Quai des Artistes » est récente. L’artiste Bueno souligne même que « impossible de dissimuler, d’exposer des toiles qui véhiculent une histoire liée à des sentiments parfois éteints … La proposition de Mary Coles-Merighi à la Brasserie « Quai des Artistes », m’a parue extraordinaire dans la mesure où j’ai senti une liberté d’expression que je n’avais jamais eu encore l’opportunité de dépeindre. Vous voyez ce que je veux dire ... Les toiles que j’ai transporté à Monaco, traduisent exactement ma surprise du moment et, de plus, je ne me suis arrêtée de peindre qu’avec la certitude que, je me révélais à moi-même et aux « Quais des Artites », dont l’univers pour créer ne m’a pas quitté, vous voyez … ».
Oui, Sabrina Bueno, nous voyons… Vous êtes l’une de celle qui ne quitte sa palette qu’une fois le rêve accompli !
Alors à quoi ressemble donc l’exposition signée Bueno ? Personne n’associera à la lecture de cet article, ce qu’elle pensait alors découvrir. La peintre s’est donc emparée de l’éloge du blanc, du noir et, subrepticement, comme pour éviter que les couleurs ne s’entrechoquent, l’intrusion d’une couleur, comme un discours sagement organisé qui soudain ponctue un sentiment là où on l’attendait le moins.
Et puis, vous découvrirez l’alliance des matières, d’enduits, de sable, de collage, et une texture, laquée et métallique, dans une imperceptible évocation de fêtes, vers lesquelles de façon sans équivoque l’esprit de l’artiste s’achemine. D’ailleurs, poussée par l’évocation du temps, l’incrustation, par ailleurs de chiffres, nous fait signe que chaque tableau est une pièce unique.
Alors Bravo Bueno, car le soleil méditerranéen, a fait explosé Sabrina qui, installée à Cannes, l’a lancé sur la voie éclairée de la création.
Sa collection est surprenante et la sélection des œuvres qu’elle expose « Quai des Artistes » est récente. L’artiste Bueno souligne même que « impossible de dissimuler, d’exposer des toiles qui véhiculent une histoire liée à des sentiments parfois éteints … La proposition de Mary Coles-Merighi à la Brasserie « Quai des Artistes », m’a parue extraordinaire dans la mesure où j’ai senti une liberté d’expression que je n’avais jamais eu encore l’opportunité de dépeindre. Vous voyez ce que je veux dire ... Les toiles que j’ai transporté à Monaco, traduisent exactement ma surprise du moment et, de plus, je ne me suis arrêtée de peindre qu’avec la certitude que, je me révélais à moi-même et aux « Quais des Artites », dont l’univers pour créer ne m’a pas quitté, vous voyez … ».
Oui, Sabrina Bueno, nous voyons… Vous êtes l’une de celle qui ne quitte sa palette qu’une fois le rêve accompli !
Alors à quoi ressemble donc l’exposition signée Bueno ? Personne n’associera à la lecture de cet article, ce qu’elle pensait alors découvrir. La peintre s’est donc emparée de l’éloge du blanc, du noir et, subrepticement, comme pour éviter que les couleurs ne s’entrechoquent, l’intrusion d’une couleur, comme un discours sagement organisé qui soudain ponctue un sentiment là où on l’attendait le moins.
Et puis, vous découvrirez l’alliance des matières, d’enduits, de sable, de collage, et une texture, laquée et métallique, dans une imperceptible évocation de fêtes, vers lesquelles de façon sans équivoque l’esprit de l’artiste s’achemine. D’ailleurs, poussée par l’évocation du temps, l’incrustation, par ailleurs de chiffres, nous fait signe que chaque tableau est une pièce unique.