Cette lettre appelle les gouvernements à cesser de s'ingérer dans la capacité des professionnels de santé à fournir des soins, faisant valoir que la pénalisation de l'avortement met la vie et la santé des femmes et des jeunes filles en danger.
"Ériger l'avortement en infraction empêche les professionnels de santé de dispenser en temps voulu des soins médicaux adaptés, conformément aux souhaits de leurs patientes. Cela gêne le corps médical dans son appréciation de la situation, et peut compromettre le devoir professionnel de soins et de confidentialité que les médecins ont envers leurs patientes", peut-on lire dans cette lettre.
La lettre est signée par des professionnels de santé issus d'institutions du monde entier, notamment de l'Hôpital universitaire de Gand en Belgique, de l'Université Nationale de Comahue en Argentine, de l'École de médecine de Harvard aux États-Unis et de l'Université du Cap en Afrique du Sud.
"Ériger l'avortement en infraction empêche les professionnels de santé de dispenser en temps voulu des soins médicaux adaptés, conformément aux souhaits de leurs patientes. Cela gêne le corps médical dans son appréciation de la situation, et peut compromettre le devoir professionnel de soins et de confidentialité que les médecins ont envers leurs patientes", peut-on lire dans cette lettre.
La lettre est signée par des professionnels de santé issus d'institutions du monde entier, notamment de l'Hôpital universitaire de Gand en Belgique, de l'Université Nationale de Comahue en Argentine, de l'École de médecine de Harvard aux États-Unis et de l'Université du Cap en Afrique du Sud.