Le gouvernement de Nauru a rejeté la demande d’Amnesty International, invoquant "les circonstances actuelles et la période extrêmement chargée", alors que l’organisation avait proposé différentes dates.
Cette dernière obstruction intervient après que Nauru a finalement renoncé en début de mois à autoriser la venue d’une équipe d’observateurs des droits humains de l’ONU, invoquant des "difficultés d’ordre pratique".
En février 2014, le coût des visas pour les journalistes souhaitant se rendre à Nauru est passé de 130 euros à 5.350 euros.
"Le refus de Nauru d’autoriser un examen indépendant des conditions dans le centre de détention est une évolution accablante du système de demande de procédure d’asile mis en place par l’Australie hors de son territoire", a déclaré Rupert Abbott, directeur adjoint du programme Asie-Pacifique d’Amnesty International.
Cette dernière obstruction intervient après que Nauru a finalement renoncé en début de mois à autoriser la venue d’une équipe d’observateurs des droits humains de l’ONU, invoquant des "difficultés d’ordre pratique".
En février 2014, le coût des visas pour les journalistes souhaitant se rendre à Nauru est passé de 130 euros à 5.350 euros.
"Le refus de Nauru d’autoriser un examen indépendant des conditions dans le centre de détention est une évolution accablante du système de demande de procédure d’asile mis en place par l’Australie hors de son territoire", a déclaré Rupert Abbott, directeur adjoint du programme Asie-Pacifique d’Amnesty International.