En France et sans surprise, des médias ont révélé que certains des ministres nommés dans le gouvernement à peine installé, n’étaient pas aussi vertueux qu’on pouvait l’espérer. Le contraire l’eût été plus.
Toutefois, les révélations concernant l’utilisation détournée de subsides publics par certains nouveaux ministres devraient certainement être limitées car une partie de ce nouveau cabinet est issue de la société civile. Non pas que ceux-ci soient plus vertueux que leurs homologues politiciens, mais ils ont tout simplement moins qu’eux, eu l’occasion de profiter des fonds publics. Quant à l’utilisation de l’argent privé, curieusement cela intéresse beaucoup moins les électeurs et les médias...
A l’étranger, le président américain Trump a choisi pour son premier voyage officiel, le Moyen-Orient et l’Europe. Plus précisément l’Arabie saoudite sans surprise, et Israël. Puis le Vatican et Bruxelles pour son premier sommet de l’Otan. Ce qui lui a ainsi donné l’occasion de rencontrer quelques-uns de ses homologues.
A Bruxelles, les deux nouveaux présidents américain et français ont croisé le fer. L’entrée de Macron, arrivé légèrement en retard a fait son effet. On sentait que la scène avait été répétée et que le petit Poucet n’avait aucunement l’intention de se faire dévorer par l’ogre. Bon en même temps, maintenant le coup de la poignée de main hyper-virile est connu, aussi les conseillers de Trump, s’ils ont une quelconque influence sur lui, devraient réfléchir à autre chose pour intimider les autres. On a senti Macron prêt à affronter celui qui pense impressionner tout le monde avec cette poignée de main qui devrait entrer dans l’histoire des relations internationales, à défaut d’autres choses comme ont pu le constater les lecteurs du message laissé par ce dernier lors de sa visite au mémorial de Yad Vashem. Comme quoi encore une fois, les conseillers du président américain ne devraient rien laisser au hasard.
Nous voici donc rassurés sur la capacité du président Macron à résister au président Trump en le snobant à l’avantage de la chancelière Merkel, c’est-à-dire en choisissant l’Europe plutôt que les États-Unis, sans surprise. Cette première étape passée, les médias s’interrogent sur sa capacité à faire aussi bien lors de sa prochaine rencontre avec le président Poutine. Ce sera par conséquent dans un prochain épisode.
Ce séjour à Bruxelles semble avoir été du côté belge, néanmoins très bien préparé. Une équipe de quatre personnes pour trois mois de préparation. Les délégations des deux premières dames turque et américaine, constituées de plusieurs dizaines de personnes, étaient quant à elles "au taquet" quant à la sécurité et au confort de ces "first ladies". Jusqu’à paraît-il, l’épaisseur du papier et le désodorisant dans les toilettes du musée Magritte. On voit que les impôts belges sont dépensés aussi sérieusement que les français…
Ah! au fait, en dehors du spectacle, sauriez-vous par hasard, quels sont les thèmes abordés à ce sommet de l’Otan?
Toutefois, les révélations concernant l’utilisation détournée de subsides publics par certains nouveaux ministres devraient certainement être limitées car une partie de ce nouveau cabinet est issue de la société civile. Non pas que ceux-ci soient plus vertueux que leurs homologues politiciens, mais ils ont tout simplement moins qu’eux, eu l’occasion de profiter des fonds publics. Quant à l’utilisation de l’argent privé, curieusement cela intéresse beaucoup moins les électeurs et les médias...
A l’étranger, le président américain Trump a choisi pour son premier voyage officiel, le Moyen-Orient et l’Europe. Plus précisément l’Arabie saoudite sans surprise, et Israël. Puis le Vatican et Bruxelles pour son premier sommet de l’Otan. Ce qui lui a ainsi donné l’occasion de rencontrer quelques-uns de ses homologues.
A Bruxelles, les deux nouveaux présidents américain et français ont croisé le fer. L’entrée de Macron, arrivé légèrement en retard a fait son effet. On sentait que la scène avait été répétée et que le petit Poucet n’avait aucunement l’intention de se faire dévorer par l’ogre. Bon en même temps, maintenant le coup de la poignée de main hyper-virile est connu, aussi les conseillers de Trump, s’ils ont une quelconque influence sur lui, devraient réfléchir à autre chose pour intimider les autres. On a senti Macron prêt à affronter celui qui pense impressionner tout le monde avec cette poignée de main qui devrait entrer dans l’histoire des relations internationales, à défaut d’autres choses comme ont pu le constater les lecteurs du message laissé par ce dernier lors de sa visite au mémorial de Yad Vashem. Comme quoi encore une fois, les conseillers du président américain ne devraient rien laisser au hasard.
Nous voici donc rassurés sur la capacité du président Macron à résister au président Trump en le snobant à l’avantage de la chancelière Merkel, c’est-à-dire en choisissant l’Europe plutôt que les États-Unis, sans surprise. Cette première étape passée, les médias s’interrogent sur sa capacité à faire aussi bien lors de sa prochaine rencontre avec le président Poutine. Ce sera par conséquent dans un prochain épisode.
Ce séjour à Bruxelles semble avoir été du côté belge, néanmoins très bien préparé. Une équipe de quatre personnes pour trois mois de préparation. Les délégations des deux premières dames turque et américaine, constituées de plusieurs dizaines de personnes, étaient quant à elles "au taquet" quant à la sécurité et au confort de ces "first ladies". Jusqu’à paraît-il, l’épaisseur du papier et le désodorisant dans les toilettes du musée Magritte. On voit que les impôts belges sont dépensés aussi sérieusement que les français…
Ah! au fait, en dehors du spectacle, sauriez-vous par hasard, quels sont les thèmes abordés à ce sommet de l’Otan?