Le contrôle des limites maximales de résidus de pesticide dans les aliments est de la responsabilité de l'Etat. Photo (c) Florence Esther
Pour un pesticide donné, tout est dans la formulation. Il y a le principe actif, encore appelé la matière active qui est l’élément essentiel. C’est cet élément qui permet de contrôler la contrainte phytosanitaire pour laquelle il a été produit. Lorsque vous utilisez un insecticide, c’est cette matière active qui va agir sur l’insecte en question et le neutraliser.
Or il se trouve que lorsqu’on utilise un pesticide sur une culture donnée, en fonction de la méthode d’utilisation, de la technique et du timing d’application, il peut arriver que la matière active ne soit pas complètement absorbée au cours des métabolismes et des autres phénomènes de transportation de la plante. Dans ces conditions, à l’issue du processus de croissance, le principe actif demeure présent dans la plante sous une forme résiduelle. C’est elle que l’on nomme "résidus du pesticide".
Depuis lors, la recherche a fait beaucoup de progrès. Il y a des évolutions dans la formulation. Si avant, il fallait épandre une quantité importante de matière active par unité de surface, aujourd’hui on a à portée de main "des produits dits propres" qui ne contiennent qu’une faible dose de matière active pour la même unité de surface et le même niveau d’efficacité. Mais quelque soit la formulation utilisée, les recommandations prescrites doivent être bien suivies. Car la teneur en résidus de pesticide est fonction du moment de l’utilisation et de la technique appliquée. Il faut rappeler aux producteurs la nécessité de les respecter afin de servir aux populations des aliments sains.
Les indices de limites maximales de résidus (LMR) indiquent le niveau de dangerosité d’un pesticide dans une denrée donnée. Dans la pratique, certains produits peuvent être appliqués sept jours avant la récolte sans aucun risque pour le consommateur final. Les formations sont donc nécessaires pour renforcer les capacités des revendeurs et des utilisateurs. Elles informent sur quand, et comment utiliser tel ou tel pesticide. Il reste donc que le ministère de l’Agriculture fasse effectivement son travail de référencement et de certification.
Or il se trouve que lorsqu’on utilise un pesticide sur une culture donnée, en fonction de la méthode d’utilisation, de la technique et du timing d’application, il peut arriver que la matière active ne soit pas complètement absorbée au cours des métabolismes et des autres phénomènes de transportation de la plante. Dans ces conditions, à l’issue du processus de croissance, le principe actif demeure présent dans la plante sous une forme résiduelle. C’est elle que l’on nomme "résidus du pesticide".
Depuis lors, la recherche a fait beaucoup de progrès. Il y a des évolutions dans la formulation. Si avant, il fallait épandre une quantité importante de matière active par unité de surface, aujourd’hui on a à portée de main "des produits dits propres" qui ne contiennent qu’une faible dose de matière active pour la même unité de surface et le même niveau d’efficacité. Mais quelque soit la formulation utilisée, les recommandations prescrites doivent être bien suivies. Car la teneur en résidus de pesticide est fonction du moment de l’utilisation et de la technique appliquée. Il faut rappeler aux producteurs la nécessité de les respecter afin de servir aux populations des aliments sains.
Les indices de limites maximales de résidus (LMR) indiquent le niveau de dangerosité d’un pesticide dans une denrée donnée. Dans la pratique, certains produits peuvent être appliqués sept jours avant la récolte sans aucun risque pour le consommateur final. Les formations sont donc nécessaires pour renforcer les capacités des revendeurs et des utilisateurs. Elles informent sur quand, et comment utiliser tel ou tel pesticide. Il reste donc que le ministère de l’Agriculture fasse effectivement son travail de référencement et de certification.