Les mères de cinq militants chiites figurant parmi ces prisonniers ont imploré le roi Salman de faire preuve de clémence, après avoir eu vent de préparatifs pouvant être en relation avec des exécutions imminentes.
Le Groupe de travail de l'ONU a établi que les autorités saoudiennes détiennent de manière arbitraire neuf militants pacifiques, en violation du droit international, dans un avis qui expose des preuves accablantes du mépris de l'Arabie saoudite envers les droits humains.
Amnesty International a demandé à maintes reprises la libération immédiate et sans condition des neuf militants, qu'elle considère comme des prisonniers d'opinion. Il s'agit de six membres fondateurs d'une grande organisation de défense des droits humains, l'Association saoudienne des droits civils et politiques (ACPRA), du blogueur incarcéré Raif Badawi, de son avocat spécialisé dans la défense des droits humains Waleed Abu al Khair, et de Fadhel al Manasif, du Centre Al Adala pour les droits humains, aujourd'hui dissout.
"L'avis du Groupe de travail de l'ONU ne laisse aucune place au doute: les autorités saoudiennes se servent des lois vagues du pays pour priver les défenseurs des droits humains et d'autres de leur liberté, et les priver de leurs droits fondamentaux à la liberté d'expression, d'association et de réunion", a déclaré James Lynch, directeur adjoint du programme Afrique du Nord et Moyen-Orient d'Amnesty International.
Le Groupe de travail de l'ONU a établi que les autorités saoudiennes détiennent de manière arbitraire neuf militants pacifiques, en violation du droit international, dans un avis qui expose des preuves accablantes du mépris de l'Arabie saoudite envers les droits humains.
Amnesty International a demandé à maintes reprises la libération immédiate et sans condition des neuf militants, qu'elle considère comme des prisonniers d'opinion. Il s'agit de six membres fondateurs d'une grande organisation de défense des droits humains, l'Association saoudienne des droits civils et politiques (ACPRA), du blogueur incarcéré Raif Badawi, de son avocat spécialisé dans la défense des droits humains Waleed Abu al Khair, et de Fadhel al Manasif, du Centre Al Adala pour les droits humains, aujourd'hui dissout.
"L'avis du Groupe de travail de l'ONU ne laisse aucune place au doute: les autorités saoudiennes se servent des lois vagues du pays pour priver les défenseurs des droits humains et d'autres de leur liberté, et les priver de leurs droits fondamentaux à la liberté d'expression, d'association et de réunion", a déclaré James Lynch, directeur adjoint du programme Afrique du Nord et Moyen-Orient d'Amnesty International.