"L'Arabie saoudite ne doit pas mettre à mort trois étrangers déclarés coupables d'infractions à la législation sur les stupéfiants", a déclaré Amnesty International alors que le nombre d'exécutions a selon certaines sources fortement augmenté dans le royaume depuis le début de l'année.
Ali Agirdas, de nationalité turque, et Sheikh Mastan et Hamza Abu Bakir, ressortissants indiens, risquent d'être exécutés d'un moment à l'autre après avoir été condamnés pour trafic et détention de stupéfiants.
"La récente recrudescence des exécutions en Arabie saoudite est une évolution choquante, qui va à l'encontre de la tendance mondiale en faveur de l'abolition de la peine de mort", a indiqué Hassiba Hadj Sahraoui, directrice adjointe du programme Afrique du Nord et Moyen-Orient d'Amnesty International.
Ali Agirdas, de nationalité turque, et Sheikh Mastan et Hamza Abu Bakir, ressortissants indiens, risquent d'être exécutés d'un moment à l'autre après avoir été condamnés pour trafic et détention de stupéfiants.
"La récente recrudescence des exécutions en Arabie saoudite est une évolution choquante, qui va à l'encontre de la tendance mondiale en faveur de l'abolition de la peine de mort", a indiqué Hassiba Hadj Sahraoui, directrice adjointe du programme Afrique du Nord et Moyen-Orient d'Amnesty International.