D’après les informations recueillies par Amnesty International, Raif Badawi aurait reçu jusqu’à 50 coups de fouet vendredi 9 janvier, le reste de sa peine de flagellation sera appliqué sur 20 semaines.
"La nouvelle du début de la flagellation de Raif Badawi est choquante. Les autorités saoudiennes doivent immédiatement suspendre tout projet d’application de ce châtiment brutal. La flagellation et les autres formes de châtiments corporels sont prohibées par le droit international, qui interdit la torture et les autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants. Il est effrayant de penser qu’un châtiment aussi vicieux et cruel doit être infligé à une personne qui n’a rien fait de plus qu’oser créer un forum public de débat et exercer pacifiquement son droit à la liberté d’expression", a déclaré Philip Luther, directeur du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d’Amnesty International.
Amnesty International considère Raif Badawi comme un prisonnier d’opinion et demande l’annulation de sa peine et sa libération immédiate et sans condition.
"La nouvelle du début de la flagellation de Raif Badawi est choquante. Les autorités saoudiennes doivent immédiatement suspendre tout projet d’application de ce châtiment brutal. La flagellation et les autres formes de châtiments corporels sont prohibées par le droit international, qui interdit la torture et les autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants. Il est effrayant de penser qu’un châtiment aussi vicieux et cruel doit être infligé à une personne qui n’a rien fait de plus qu’oser créer un forum public de débat et exercer pacifiquement son droit à la liberté d’expression", a déclaré Philip Luther, directeur du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d’Amnesty International.
Amnesty International considère Raif Badawi comme un prisonnier d’opinion et demande l’annulation de sa peine et sa libération immédiate et sans condition.