Fowzan al Harbi, l’un des membres fondateurs de l’Association saoudienne des droits civils et politiques (ACPRA), a été condamné par un tribunal de Riyadh, la capitale, à sept ans de prison et à une interdiction de voyager pour la même durée, après avoir été déclaré coupable d’un ensemble de charges fallacieuses liées à son travail en faveur des droits humains.
"Fowzan al Harbi a été pris pour cible sans pitié parce qu’il a osé remettre en cause le bilan des autorités saoudiennes en matière de droits humains. Sa condamnation doit être immédiatement annulée et il doit être un homme libre à sa sortie du tribunal. Il n’aurait même jamais dû être poursuivi en justice", a déclaré Saïd Boumedouha, directeur adjoint du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d’Amnesty International.
Fowzan al Harbi a été déclaré coupable d’avoir "rompu son allégeance" au roi en lançant des appels à manifester, d’avoir critiqué les autorités et d’avoir participé à la création d’une "organisation non agréée" (qui serait l’ACPRA), entre autres "infractions".
"Fowzan al Harbi a été pris pour cible sans pitié parce qu’il a osé remettre en cause le bilan des autorités saoudiennes en matière de droits humains. Sa condamnation doit être immédiatement annulée et il doit être un homme libre à sa sortie du tribunal. Il n’aurait même jamais dû être poursuivi en justice", a déclaré Saïd Boumedouha, directeur adjoint du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d’Amnesty International.
Fowzan al Harbi a été déclaré coupable d’avoir "rompu son allégeance" au roi en lançant des appels à manifester, d’avoir critiqué les autorités et d’avoir participé à la création d’une "organisation non agréée" (qui serait l’ACPRA), entre autres "infractions".