Deux frères et deux de leurs cousins, frères eux aussi, ont été exécutés ce matin dans la ville de Najran, dans le sud-est du pays, après avoir été reconnus coupables d’avoir "reçu de grandes quantités de haschich", semble-t-il sur la base d’aveux extorqués sous la torture.
Cela porte le nombre d’exécutions en Arabie saoudite au cours des deux dernières semaines à 17 – c’est-à-dire plus d’une par jour.
"La brusque augmentation du nombre d’exécutions en Arabie saoudite témoigne d’une dégradation inquiétante de la situation. Les autorités doivent agir sans délai pour mettre un terme à cette pratique cruelle. La peine de mort est toujours néfaste et, aux termes du droit international, il est interdit d’y recourir en cas de crimes n’ayant pas provoqué la mort d’autrui et lorsque les preuves utilisées pour condamner l’accusé se fondent sur des "aveux" extorqués sous la torture", a déclaré Said Boumedouha, directeur adjoint du programme Afrique du Nord et Moyen-Orient d’Amnesty International.
Ces quatre hommes ont été exécutés malgré les efforts désespérés déployés en dernière minute par leur famille pour alerter le monde sur leur sort.
Cela porte le nombre d’exécutions en Arabie saoudite au cours des deux dernières semaines à 17 – c’est-à-dire plus d’une par jour.
"La brusque augmentation du nombre d’exécutions en Arabie saoudite témoigne d’une dégradation inquiétante de la situation. Les autorités doivent agir sans délai pour mettre un terme à cette pratique cruelle. La peine de mort est toujours néfaste et, aux termes du droit international, il est interdit d’y recourir en cas de crimes n’ayant pas provoqué la mort d’autrui et lorsque les preuves utilisées pour condamner l’accusé se fondent sur des "aveux" extorqués sous la torture", a déclaré Said Boumedouha, directeur adjoint du programme Afrique du Nord et Moyen-Orient d’Amnesty International.
Ces quatre hommes ont été exécutés malgré les efforts désespérés déployés en dernière minute par leur famille pour alerter le monde sur leur sort.