La crise du coronavirus que nous traversons nous a permis de nous rendre compte de l’impact de l’activité humaine sur notre environnement et sur la biodiversité dès le début du confinement. En effet, nous avons pu remarquer une baisse de la pollution atmosphérique seulement quelques semaines après le début du confinement par ville. En Chine par exemple, on a remarqué une baisse considérable du taux de NO2 dans l’air. Cette baisse habituellement cause de nombreuses morts de maladies respiratoires faisait ironiquement moins de décès que la Covid-19.
La baisse de la pollution atmosphérique n’est pas le seul indicateur de notre activité néfaste sur l'environnement. Depuis le confinement, les eaux des routes maritimes s’assainissent et les espèces marines occupent ces espaces. Idem pour les zones terrestres, on entend de nouveaux les oiseaux chanter et certaines espèces de mammifères prennent leurs aises dans les lieux non pollués par l’activité humaine.