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Pendant un mois de travaux sans répit 10 jeunes Français étudiants à l’Université de Normandie, accompagnés par les jeunes membres de la JCI de Toamasina, ont pu réaliser ensemble cette œuvre sociale pour les jeunes et les enfants malagasy pour qu’ils puissent un jour vivre leur rêve. Il va sans dire qu’il faut passer par l’école primaire avant d’accéder aux autres étapes qui s’ensuivent. A part d’autres activités exercées par la JCI telles que les ateliers, les conférences ou les programmes de formation et d’autres action en faveur des familles et des enfants défavorisés, cette fois-ci, ils ont choisi de réhabiliter l’EPP d’Ambohijafy. En fait, ce sont des jeunes engagés pour le développement de Madagascar.
Tous les ans, depuis l’an 2000, ces jeunes de Normandie effectuent cette action caritative dont Madagascar fini toujours par être leur choix parce que la fondatrice de Zazasoa est une malgache et originaire de Toamasina de surcroit. Beaucoup d’EPP ont souhaité d’être choisi pour être réhabilité mais c’est celle d’Ambohijafy qui a été choisie après l’étude de faisabilité effectuée par les techniciens et l’association en question.
Les parents d’élèves, les enseignants et surtout les enfants sont contents d’avoir ces deux salles de classe réhabilitées, car suite aux passages fréquents de cyclones leur école n’est pas toujours épargnée par les dégâts et les enfants en sont les premières victimes. Ils en subissent les conséquences telles les tôles emportées par le vent, le mur qui s’effondre voire la fermeture même de leur école pendant un certain temps. Comme disait un élève de l’EPP Ambohijafy, Brifany Ratsimbazafy (12 ans), il est actuellement en classe de 7e mais il était en brousse à Ambodihasina saranambana avant de venir ici à Toamasina. Il a commencé à étudier ici à partir de la classe de 8e. Il disait qu’après son transfert ici à Ambohijafy il a constaté qu’il a beaucoup progressé au niveau des études. "Les instituteurs d’ici enseignent vraiment et donnent beaucoup d’explications", a-t-il souligné, "notamment pour les calculs, les opérations et problèmes ainsi que les sciences de la vie et de la terre ou SVT sans parler de l’histoire".
Ils sont au nombre de 54 élèves dans une salle de classe, trois par table, et ils ne travaillent que par demi-journée.
Les élèves sont contents et remercient les jeunes de Zazasoa d’avoir pu leur donner ces deux nouvelles salles de classe. "Cela donne envie de travailler", ont-ils tous crié à haute voix. Ils sont très touchés et étonnés quand ont leur dit que ces jeunes de Normandie ont cotisé pour les aider et ils ont dit que cela leur donne l’envie de faire pareil un jour quand ils seront grands, d’aider à leur tour des enfants.
Tous les ans, depuis l’an 2000, ces jeunes de Normandie effectuent cette action caritative dont Madagascar fini toujours par être leur choix parce que la fondatrice de Zazasoa est une malgache et originaire de Toamasina de surcroit. Beaucoup d’EPP ont souhaité d’être choisi pour être réhabilité mais c’est celle d’Ambohijafy qui a été choisie après l’étude de faisabilité effectuée par les techniciens et l’association en question.
Les parents d’élèves, les enseignants et surtout les enfants sont contents d’avoir ces deux salles de classe réhabilitées, car suite aux passages fréquents de cyclones leur école n’est pas toujours épargnée par les dégâts et les enfants en sont les premières victimes. Ils en subissent les conséquences telles les tôles emportées par le vent, le mur qui s’effondre voire la fermeture même de leur école pendant un certain temps. Comme disait un élève de l’EPP Ambohijafy, Brifany Ratsimbazafy (12 ans), il est actuellement en classe de 7e mais il était en brousse à Ambodihasina saranambana avant de venir ici à Toamasina. Il a commencé à étudier ici à partir de la classe de 8e. Il disait qu’après son transfert ici à Ambohijafy il a constaté qu’il a beaucoup progressé au niveau des études. "Les instituteurs d’ici enseignent vraiment et donnent beaucoup d’explications", a-t-il souligné, "notamment pour les calculs, les opérations et problèmes ainsi que les sciences de la vie et de la terre ou SVT sans parler de l’histoire".
Ils sont au nombre de 54 élèves dans une salle de classe, trois par table, et ils ne travaillent que par demi-journée.
Les élèves sont contents et remercient les jeunes de Zazasoa d’avoir pu leur donner ces deux nouvelles salles de classe. "Cela donne envie de travailler", ont-ils tous crié à haute voix. Ils sont très touchés et étonnés quand ont leur dit que ces jeunes de Normandie ont cotisé pour les aider et ils ont dit que cela leur donne l’envie de faire pareil un jour quand ils seront grands, d’aider à leur tour des enfants.