La vague d’attaques contre les réfugiés, les migrants et leurs commerces à laquelle on assiste dans la région de Durban a fini par inciter les représentants du gouvernement à prendre des mesures.
Au cours des deux dernières semaines, au moins quatre personnes ont été tuées, de nombreuses autres grièvement blessées, des boutiques pillées et plus de 1000 personnes déplacées à Durban, dans la province du KwaZulu-Natal.
"Nous reconnaissons que la police procède à des arrestations. Cependant, les autorités doivent mener des enquêtes exhaustives, transparentes et indépendantes, et traduire les responsables présumés de ces agissements en justice", a déclaré Sicel’mpilo Shange-Buthane, directrice exécutive d’Amnesty International-Afrique du Sud.
Au cours des deux dernières semaines, au moins quatre personnes ont été tuées, de nombreuses autres grièvement blessées, des boutiques pillées et plus de 1000 personnes déplacées à Durban, dans la province du KwaZulu-Natal.
"Nous reconnaissons que la police procède à des arrestations. Cependant, les autorités doivent mener des enquêtes exhaustives, transparentes et indépendantes, et traduire les responsables présumés de ces agissements en justice", a déclaré Sicel’mpilo Shange-Buthane, directrice exécutive d’Amnesty International-Afrique du Sud.