Un mode ancestral pour se déplacer qui retrouve de plus en plus d'adeptes en ce XXIe siècle
De l'implantation du Vélib (vélo en libre service) dans nombres de grandes villes internationales - New-York est le dernier exemple en date - à Google Maps qui ajoute "cycling directions" (itinéraires cycliste) et rend la part belle au "vélo-loisir", l'ère de la petite reine est de retour. La vidéo multilingue (démarrez le visionnage puis cliquez sur CC en bas de la vidéo pour afficher les langues disponibles) démontre l'utilisation de ce service.
La bicyclette balbutie dès 1493 pour prendre forme vers 1820 et ressembler à nos vélos d'aujourd'hui dès 1890. C'est après la première guerre mondiale que ce moyen de locomotion devient populaire. Au début des années 1990 plusieurs pays organisent des manifestations mensuelles qui rassemblent dans des centaines de villes les défenseurs de ce moyen de déplacement écologique. Au début des années 2000 l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et la Commission européenne reconnaissent officiellement les bienfaits de cette pratique au quotidien. Ils recommandent le vélo pour réduire les risques de maladies cardiovasculaires et aussi pour lutter contre l'obésité. L’engouement des deux-roues reprend vigueur plus que jamais, autant par les autorités qui débloquent des fonds pour des pistes cyclables et autres aménagements, que par les usagers. Il devient même un facteur de développement touristique important.
Alors sans nul doute, Google Maps avec sa nouvelle fonctionnalité "cycling directions", intégrée à son service de cartographie comprenant déjà les itinéraires voiture, transports en commun et marche à pied, va faciliter la vie des cyclistes. Le code couleur est facile à retenir: "vert foncé pour les pistes et chemins, vert clair pour les routes et couloirs dédiés, les pointillés verts pour les routes adaptées aux cyclistes". Ces nouvelles cartes interactives ont d'ailleurs été élaborées en partie avec des experts de cyclisme.
Cliquez ici pour plus d'infos, directement sur le blog européen de Google.
Bonne balade à tous les amoureux de ce mode de transport écologique mais restez vigilants dans la circulation! Car en cas de collision - même si une étude de chercheurs démontre que "l'augmentation du nombre de cyclistes entraîne une baisse du taux d'accidents, car les automobilistes sont plus "habitués" à leur présence" -, le corps humain ne fait pas le poids face aux véhicules motorisés...
La bicyclette balbutie dès 1493 pour prendre forme vers 1820 et ressembler à nos vélos d'aujourd'hui dès 1890. C'est après la première guerre mondiale que ce moyen de locomotion devient populaire. Au début des années 1990 plusieurs pays organisent des manifestations mensuelles qui rassemblent dans des centaines de villes les défenseurs de ce moyen de déplacement écologique. Au début des années 2000 l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et la Commission européenne reconnaissent officiellement les bienfaits de cette pratique au quotidien. Ils recommandent le vélo pour réduire les risques de maladies cardiovasculaires et aussi pour lutter contre l'obésité. L’engouement des deux-roues reprend vigueur plus que jamais, autant par les autorités qui débloquent des fonds pour des pistes cyclables et autres aménagements, que par les usagers. Il devient même un facteur de développement touristique important.
Alors sans nul doute, Google Maps avec sa nouvelle fonctionnalité "cycling directions", intégrée à son service de cartographie comprenant déjà les itinéraires voiture, transports en commun et marche à pied, va faciliter la vie des cyclistes. Le code couleur est facile à retenir: "vert foncé pour les pistes et chemins, vert clair pour les routes et couloirs dédiés, les pointillés verts pour les routes adaptées aux cyclistes". Ces nouvelles cartes interactives ont d'ailleurs été élaborées en partie avec des experts de cyclisme.
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Bonne balade à tous les amoureux de ce mode de transport écologique mais restez vigilants dans la circulation! Car en cas de collision - même si une étude de chercheurs démontre que "l'augmentation du nombre de cyclistes entraîne une baisse du taux d'accidents, car les automobilistes sont plus "habitués" à leur présence" -, le corps humain ne fait pas le poids face aux véhicules motorisés...