Le voleur est arrêté. Photo (c) F. Koffi
Dans certains quartiers d’Abidjan, Il n’est pas rare d’entendre des personnes crier "au voleur". Mais à l’approche du mois de décembre, ces agressions deviennent de plus en plus fréquentes.
Obou Orphélia, jeune adolescente en a fait les frais. Elle raconte sa mésaventure.‘’j’étais à la maison en train de jouer avec mon téléphone, puis j’ai vu trois jeunes qui sont venus vers moi. L’un d’entre eux m’a demandé mon nom. Pendant que je répondais, un à taper mon bras, faisant tomber mon téléphone. Il l’a pris et il s’est enfui. Puis j’ai commencé à crier au voleur. Les gens sont venus, ils ont mis la main sur deux d’entre eux, mais le troisième a pu s’enfuir avec le téléphone’’.
Un fait qui n’est pas isolé, car les agressions se sont multipliés ces derniers jours, relate Kouassi Jacques, riverain du quartier Maroc à Yopougon.
"C’est la 5e agression en moins d’un mois dans le quartier, on n’est plus serein. On ne sait même plus où aller. Même les chauffeurs de taxis sont dedans. Tu vas arrêter un taxi, ils vont t’agresser. Quand il est 20h, tu ne sais même pas si tu dois sortir. Quand tu viens du boulot tu as peur de rentrer. Matin, et soir, toutes les heures on a des agressions. On a peur pour nos vies. Où je suis là, Mes enfants sont petits. Quand je ne vois pas un, je ne peux pas dormir".
Face à la situation, il demande plus de patrouilles aux forces de sécurité.
"Il faut que les forces de sécurité fassent des patrouilles, viennent dans les quartiers inaccessibles" réclame Kouassi Jacques.
Un appel qui devrait être entendu par les autorités policières, car la plupart du temps, les agresseurs qui sont pourchassés par la population, sont lynchés et parfois tués à coup de pierres ou de gourdin. Des expéditions punitives pour décourager les jeunes agresseurs.
Obou Orphélia, jeune adolescente en a fait les frais. Elle raconte sa mésaventure.‘’j’étais à la maison en train de jouer avec mon téléphone, puis j’ai vu trois jeunes qui sont venus vers moi. L’un d’entre eux m’a demandé mon nom. Pendant que je répondais, un à taper mon bras, faisant tomber mon téléphone. Il l’a pris et il s’est enfui. Puis j’ai commencé à crier au voleur. Les gens sont venus, ils ont mis la main sur deux d’entre eux, mais le troisième a pu s’enfuir avec le téléphone’’.
Un fait qui n’est pas isolé, car les agressions se sont multipliés ces derniers jours, relate Kouassi Jacques, riverain du quartier Maroc à Yopougon.
"C’est la 5e agression en moins d’un mois dans le quartier, on n’est plus serein. On ne sait même plus où aller. Même les chauffeurs de taxis sont dedans. Tu vas arrêter un taxi, ils vont t’agresser. Quand il est 20h, tu ne sais même pas si tu dois sortir. Quand tu viens du boulot tu as peur de rentrer. Matin, et soir, toutes les heures on a des agressions. On a peur pour nos vies. Où je suis là, Mes enfants sont petits. Quand je ne vois pas un, je ne peux pas dormir".
Face à la situation, il demande plus de patrouilles aux forces de sécurité.
"Il faut que les forces de sécurité fassent des patrouilles, viennent dans les quartiers inaccessibles" réclame Kouassi Jacques.
Un appel qui devrait être entendu par les autorités policières, car la plupart du temps, les agresseurs qui sont pourchassés par la population, sont lynchés et parfois tués à coup de pierres ou de gourdin. Des expéditions punitives pour décourager les jeunes agresseurs.