Lundi - Radhika Coomaraswamy, choquée d'apprendre qu'une jeune fille avait été utilisée pour commettre un attentat suicide dans le district de Char China, en Afghanistan.Également inquiète par l'attaque brutale samedi contre l'hôpital d'Akbar Khail, toujours en Afghanistan.
"Alors que les conflits changent, j'ai peur que ces méthodes extrêmes ne soient davantage utilisées par ceux qui ne respectent pas les droits fondamentaux des enfants", a-t-elle ajouté.
La Représentante spéciale souligne que cette attaque survient alors que, suivant les recommandations du Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, le Conseil de sécurité est en train de réfléchir à un éventuel critère d'inscription sur la liste noire du Secrétaire général, des attaques contre des écoles et des hôpitaux.
Mme Coomaraswamy a conclu en rappelant: Au total, 197 écoles et établissements éducatifs ont été pris pour cible en Afghanistan l'année passée.
"Alors que les conflits changent, j'ai peur que ces méthodes extrêmes ne soient davantage utilisées par ceux qui ne respectent pas les droits fondamentaux des enfants", a-t-elle ajouté.
La Représentante spéciale souligne que cette attaque survient alors que, suivant les recommandations du Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, le Conseil de sécurité est en train de réfléchir à un éventuel critère d'inscription sur la liste noire du Secrétaire général, des attaques contre des écoles et des hôpitaux.
Mme Coomaraswamy a conclu en rappelant: Au total, 197 écoles et établissements éducatifs ont été pris pour cible en Afghanistan l'année passée.