L’année polaire est un évènement important, qui a lieu tous les cinquante ans. Il permet aux scientifiques mais également aux gouvernements de prendre connaissance des dernières recherches sur les zones polaires.
Cette quatrième année polaire internationale est primordiale puisqu’elle met l’accent sur le réchauffement climatique. Réchauffement, qui est deux à trois fois plus important sur les pôles que dans le reste du monde.
Cette quatrième année polaire internationale est primordiale puisqu’elle met l’accent sur le réchauffement climatique. Réchauffement, qui est deux à trois fois plus important sur les pôles que dans le reste du monde.
Les scientifiques ont notamment constaté que certaines parties du globe changeaient bien plus rapidement que d’autres, comme la péninsule Antarctique. La quantité glaciaire perd son épaisseur de façon permanente et régulière, ce qui entraîne des conséquences dramatiques tant sur la population que sur les animaux.
Certaines espèces ont, par exemple, la vie qui a changé radicalement suite au réchauffement climatique : les ours polaires ont de plus en plus de mal à élever leurs petits et les pingouins ne trouvent plus suffisamment de nourriture pour pouvoir survivre. De même, les sociétés humaines sont affectées de façon majeur, car même s’ils ont une très forte facilité à s’adapter au changement, ils ne sauraient rattraper la vitesse du climat.
En été, le soleil crée des réserves d’eau très importantes qui s’infiltrent jusqu’au centre du continent. Les chercheurs ont cru pendant très longtemps que l’eau s’infiltrant poussait les glaciers, mais ils se sont aperçus que cela dépendait de la température de l’eau. Ceci a donc permis de mieux comprendre le fonctionnement de l’atmosphère.
Pour répondre à cette problématique, les sciences et la politique doivent travailler ensemble pour trouver des solutions au réchauffement climatique. Mais ce lien est beaucoup plus compliqué qu’il n’y parait en ce qui concerne l’Arctique, car il regroupe cinq États riverains : la Russie, le Canada, les Etats-Unis, l’Union Européenne via le Danemark et le Groenland, et la Norvège. De ce fait, les phénomènes scientifiques doivent être mieux connus de la population, afin de prendre des mesures immédiates. Trop de personnes confondent encore les calottes glaciaires et la glace de mer. Pour ce faire, les pays doivent mieux communiquer entre eux afin de trouver des solutions.
Le changement climatique va changer le futur de bon nombre de générations. Ainsi, les prises de décisions des gouvernements seront décisives pour remédier à ce problème interplanétaire.
Ci-dessous en mp3 vous pouvez écouter Jean-Yves Le Déaut, député et vice-président de l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques, Karl Erb, directeur des programmes polaires de la National Science Foundation et Gérard Jugie, directeur de l’Institut Paul-Emile Victor, se sont penchés sur cette thématique durant les deux années polaires.
Certaines espèces ont, par exemple, la vie qui a changé radicalement suite au réchauffement climatique : les ours polaires ont de plus en plus de mal à élever leurs petits et les pingouins ne trouvent plus suffisamment de nourriture pour pouvoir survivre. De même, les sociétés humaines sont affectées de façon majeur, car même s’ils ont une très forte facilité à s’adapter au changement, ils ne sauraient rattraper la vitesse du climat.
En été, le soleil crée des réserves d’eau très importantes qui s’infiltrent jusqu’au centre du continent. Les chercheurs ont cru pendant très longtemps que l’eau s’infiltrant poussait les glaciers, mais ils se sont aperçus que cela dépendait de la température de l’eau. Ceci a donc permis de mieux comprendre le fonctionnement de l’atmosphère.
Pour répondre à cette problématique, les sciences et la politique doivent travailler ensemble pour trouver des solutions au réchauffement climatique. Mais ce lien est beaucoup plus compliqué qu’il n’y parait en ce qui concerne l’Arctique, car il regroupe cinq États riverains : la Russie, le Canada, les Etats-Unis, l’Union Européenne via le Danemark et le Groenland, et la Norvège. De ce fait, les phénomènes scientifiques doivent être mieux connus de la population, afin de prendre des mesures immédiates. Trop de personnes confondent encore les calottes glaciaires et la glace de mer. Pour ce faire, les pays doivent mieux communiquer entre eux afin de trouver des solutions.
Le changement climatique va changer le futur de bon nombre de générations. Ainsi, les prises de décisions des gouvernements seront décisives pour remédier à ce problème interplanétaire.
Ci-dessous en mp3 vous pouvez écouter Jean-Yves Le Déaut, député et vice-président de l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques, Karl Erb, directeur des programmes polaires de la National Science Foundation et Gérard Jugie, directeur de l’Institut Paul-Emile Victor, se sont penchés sur cette thématique durant les deux années polaires.