La salle de conférence au Sofitel Hôtel. Photo (c) AT
"70% des lits d’hôpitaux sont occupés par des personnes souffrant de maladies évitables liées à la qualité de l’eau et de l’assainissement." Pour le Premier-ministre chargé de l’économie et des finances, Daniel Kablan Duncan, qui a ouvert officiellement le Forum de Haut Niveau d’Abidjan, l’Afrique ne saurait restée indifférente à cette situation qui perdure malgré les efforts fournis par les différents pays africains. Parce que cette situation limite la valorisation du potentiel humain avec un impact négatif sur sa croissance et le développement, "il est impérieux d’inverser cette tendance au regard de l’exposition démographique de l’Afrique qui aura 25% de la population mondiale à l’horizon 2050", a-t-il martelé. Cette recherche de solutions passe indubitablement par la "valorisation d’une expertise africaine au service des Africains", a signalé le ministre de la Construction, du logement et de l’assainissement et de l’Urbanisme de la Côte d’Ivoire, Mamadou Sanago.
C’est absolument ce qui justifie le choix du thème de la Coopération sud-sud pour la 3e édition de ce forum, a répondu le président du Conseil des ministres africains de l’eau de l’Agence Intergouvernementale EAA, Wassalké Boukhary. Au nom de ses pairs ministres africains de l’eau et de l’assainissement, il a indiqué que la légitimité de EAA est aujourd’hui reconnu pour son engagement à trouver des solutions pour voler au secours des populations encore dans l’angoisse de la soif et ne disposant pas de services adéquats d’assainissement. "Avec sa vocation d’accompagner les États dans leurs efforts d’offrir l’eau et l’assainissement aux populations, l’outil de développement et l’institution commune qu’est devenu EAA, dispose de capacités opérationnelles réelles, avec plus de 300 experts et techniciens africains à travers tous les pays sur le continent et créditer d’une forte expertise en matière d’eau et d’assainissement capitalisée depuis 25 ans d’existence, dispose d’une force d'anticipation sur les changements en cours au plan des innovations technologique et financière observées dans le montage, la formulation et la mise en œuvre des projets.
Ainsi, l’édition de 2013 en choisissant d’axer les réflexions sur la "promotion de la coopération vivante et efficace entre les pays du Sud pour accélérer l’accès à l’hygiène, l’assainissement et l’eau pour trous en Afrique", invite les Africains à innover en matière de solutions et à faire fonctionner la solidarité qui la caractérise, les pays africains à trouver des solutions endogènes à leurs problèmes pour ce secteur. Surtout dans le contexte financier mondial marque par une "forte instabilité". Enfin, il s’est félicité de l’option des réformes engagées depuis 2011 qui ont donné des résultats probants.
Dans son intervention, la directrice régionale de l’Usaid, Anne Dix, dont l’institution est sponsor officiel de cette 3e édition, a réitéré l’engagement des partenaires à soutenir les efforts des États africains en veillant à l’expérimentation des options à la portée de main.
C’est absolument ce qui justifie le choix du thème de la Coopération sud-sud pour la 3e édition de ce forum, a répondu le président du Conseil des ministres africains de l’eau de l’Agence Intergouvernementale EAA, Wassalké Boukhary. Au nom de ses pairs ministres africains de l’eau et de l’assainissement, il a indiqué que la légitimité de EAA est aujourd’hui reconnu pour son engagement à trouver des solutions pour voler au secours des populations encore dans l’angoisse de la soif et ne disposant pas de services adéquats d’assainissement. "Avec sa vocation d’accompagner les États dans leurs efforts d’offrir l’eau et l’assainissement aux populations, l’outil de développement et l’institution commune qu’est devenu EAA, dispose de capacités opérationnelles réelles, avec plus de 300 experts et techniciens africains à travers tous les pays sur le continent et créditer d’une forte expertise en matière d’eau et d’assainissement capitalisée depuis 25 ans d’existence, dispose d’une force d'anticipation sur les changements en cours au plan des innovations technologique et financière observées dans le montage, la formulation et la mise en œuvre des projets.
Ainsi, l’édition de 2013 en choisissant d’axer les réflexions sur la "promotion de la coopération vivante et efficace entre les pays du Sud pour accélérer l’accès à l’hygiène, l’assainissement et l’eau pour trous en Afrique", invite les Africains à innover en matière de solutions et à faire fonctionner la solidarité qui la caractérise, les pays africains à trouver des solutions endogènes à leurs problèmes pour ce secteur. Surtout dans le contexte financier mondial marque par une "forte instabilité". Enfin, il s’est félicité de l’option des réformes engagées depuis 2011 qui ont donné des résultats probants.
Dans son intervention, la directrice régionale de l’Usaid, Anne Dix, dont l’institution est sponsor officiel de cette 3e édition, a réitéré l’engagement des partenaires à soutenir les efforts des États africains en veillant à l’expérimentation des options à la portée de main.
550 milliards de francs CFA mobilisés en un an
En justifiant les réformes engagées par EAA depuis 2011, le président du Conseil des ministres africains a indiqué que l’Agence intergouvernementale panafricaine a déjà réussi à mobiliser 550 milliards de francs Cfa en un an. Cette somme aura permis la réalisation des ouvrages de bases pour l’accès à l’eau potable et à l’assainissement dans plusieurs pays membres de l’Agence.
Aujourd’hui, grâce à ses efforts, l’institution a favorisé l’accès aux services d’eau et d’assainissement de 11 millions d’Africains. Un véritable coup de pouce pour le combat pour l’accès de tous les Africains a l'eau et a l'assainissement.
Aujourd’hui, grâce à ses efforts, l’institution a favorisé l’accès aux services d’eau et d’assainissement de 11 millions d’Africains. Un véritable coup de pouce pour le combat pour l’accès de tous les Africains a l'eau et a l'assainissement.