Cette manifestation culturelle sans précédent dans l'île s'adresse à toutes et à tous. Elle vise à sensibiliser le plus grand nombre de citoyens malagasy et à favoriser leur implication via les débats qui suivent chaque projection. En particulier, le Festival cherchera à sensibiliser la jeunesse (collégiens, lycéens, étudiants, ...) à travers les projections dans des lycées de la capitale et à l’Université d’Antananarivo.
Cet événement a pour ambition d'encourager la culture des droits humains à Madagascar grâce à une programmation cinématographique de qualité et populaire. Il vise à alimenter le débat public de manière apaisée et pacifique.
Le Festival se veut être un moment de dialogue, de rencontres et d'échanges, un nouvel espace d’expression de la culture démocratique. Il vise en outre à fédérer les énergies de l’ensemble des acteurs de la société civile qui travaillent à l’émergence d’une culture des droits de l’Homme à Madagascar. Le Festival souhaite leur servir de plateforme de sensibilisation de la population et d'instrument de plaidoyer vis-à-vis des pouvoirs publics.
Enfin, le Festival International du Film des droits de l'Homme d’Antananarivo inscrit son action dans la durée. Il affiche pour ambition de devenir un rendez-vous régulier et un temps fort de la vie culturelle et citoyenne malgache.
Le Festival se déroulera sur cinq jours, dans plusieurs lieux publics de la capitale (le Cinéma RITZ Analakely, l’Université d’Antananarivo, Jao’s pub Ambohipo,…). Il proposera une quinzaine de films, inédits à Madagascar. Les projections seront suivies de rencontres-débat public en présence d’intervenants issus de la société civile (responsables d’ONG, militants en faveur des droits de l'Homme, universitaires, ...), animé par les ambassadeurs du FIFDHA. Toutes les séances sont gratuites.
Le festival fera également la part belle aux productions malgaches. En effet, un concours de film documentaire, à l’attention des réalisateurs malgaches, a été lancé en décembre 2011. Clôturé en juillet dernier, 6 films seront en compétition.
Cette compétition a pour vocation de susciter l’engagement et la responsabilité du réalisateur envers les autres. En effet, le réalisateur a le devoir de bousculer, de réveiller, d’encourager la société, les politiques, les opinions sur le droit à la vie, à l’éducation, à la liberté d’expression, bref aux droits humains.
Cet événement a pour ambition d'encourager la culture des droits humains à Madagascar grâce à une programmation cinématographique de qualité et populaire. Il vise à alimenter le débat public de manière apaisée et pacifique.
Le Festival se veut être un moment de dialogue, de rencontres et d'échanges, un nouvel espace d’expression de la culture démocratique. Il vise en outre à fédérer les énergies de l’ensemble des acteurs de la société civile qui travaillent à l’émergence d’une culture des droits de l’Homme à Madagascar. Le Festival souhaite leur servir de plateforme de sensibilisation de la population et d'instrument de plaidoyer vis-à-vis des pouvoirs publics.
Enfin, le Festival International du Film des droits de l'Homme d’Antananarivo inscrit son action dans la durée. Il affiche pour ambition de devenir un rendez-vous régulier et un temps fort de la vie culturelle et citoyenne malgache.
Le Festival se déroulera sur cinq jours, dans plusieurs lieux publics de la capitale (le Cinéma RITZ Analakely, l’Université d’Antananarivo, Jao’s pub Ambohipo,…). Il proposera une quinzaine de films, inédits à Madagascar. Les projections seront suivies de rencontres-débat public en présence d’intervenants issus de la société civile (responsables d’ONG, militants en faveur des droits de l'Homme, universitaires, ...), animé par les ambassadeurs du FIFDHA. Toutes les séances sont gratuites.
Le festival fera également la part belle aux productions malgaches. En effet, un concours de film documentaire, à l’attention des réalisateurs malgaches, a été lancé en décembre 2011. Clôturé en juillet dernier, 6 films seront en compétition.
Cette compétition a pour vocation de susciter l’engagement et la responsabilité du réalisateur envers les autres. En effet, le réalisateur a le devoir de bousculer, de réveiller, d’encourager la société, les politiques, les opinions sur le droit à la vie, à l’éducation, à la liberté d’expression, bref aux droits humains.