Laurence Manfredi : 100% bizuth
Match Race féminin :
"On a rempli notre programme" explique Christophe Gaumont, le Président du Comité de Course qui a validé 35 face à face. "Nous n’avons pas tout à fait les même contraintes que les autres car les manches sont plus courtes et nous pouvons adapter les parcours en permanence. En plus, nous avons eu la chance d’avoir un peu plus de vent près du port." Dans cette nouvelle discipline, les Bleues commencent bien. Anne-Claire Le Berre et son équipage réalisent la meilleure opération de la journée en remportant leurs trois matchs. Claire Leroy, qui n’a disputé que deux matchs signe elle aussi un sans faute alors que Julie Bossard, avec une défaite et une victoire, a encore quatre matchs à disputer demain. Déception en revanche pour l’équipage d’Anne Le Helley qui a perdu trois des quatre matchs disputés.
Star :
Chez les Star, une seule manche a été disputée par les sept concurrents et elle a été remportée par Xavier Rohart et Pierre-Alexis Ponsot, vainqueur de l’édition précédente. Leurs compatriotes Guillaume Florent et Pascal Rambeau prennent la troisième place.
Laser :
Le comité de course des Laser est parvenu à faire courir les deux tiers de sa flotte (Les 150 lasers sont divisés en trois groupes) et le local Jean-Baptiste Bernaz pointe en neuvième position. Le groupe de Félix Pruvot n’a pour sa part pas couru aujourd’hui.
Handivoile :
Comme à son habitude, l’handivoile française se place aux avants postes. Damien Seguin, vainqueur de l’édition 2009, prend la deuxième place alors que Bruno Jourdren, en Sonar, s’impose sur l’unique manche du jour.
Point météo :
Pour lundi 26 avril, les conditions s’annoncent calmes encore une fois. Le vent de secteur Sud – Est tournera au Sud Ouest dans l’après midi. Le thermique pourrait apporter le petit supplément de vent qui faciliterait le travail des comités de course.
"On a rempli notre programme" explique Christophe Gaumont, le Président du Comité de Course qui a validé 35 face à face. "Nous n’avons pas tout à fait les même contraintes que les autres car les manches sont plus courtes et nous pouvons adapter les parcours en permanence. En plus, nous avons eu la chance d’avoir un peu plus de vent près du port." Dans cette nouvelle discipline, les Bleues commencent bien. Anne-Claire Le Berre et son équipage réalisent la meilleure opération de la journée en remportant leurs trois matchs. Claire Leroy, qui n’a disputé que deux matchs signe elle aussi un sans faute alors que Julie Bossard, avec une défaite et une victoire, a encore quatre matchs à disputer demain. Déception en revanche pour l’équipage d’Anne Le Helley qui a perdu trois des quatre matchs disputés.
Star :
Chez les Star, une seule manche a été disputée par les sept concurrents et elle a été remportée par Xavier Rohart et Pierre-Alexis Ponsot, vainqueur de l’édition précédente. Leurs compatriotes Guillaume Florent et Pascal Rambeau prennent la troisième place.
Laser :
Le comité de course des Laser est parvenu à faire courir les deux tiers de sa flotte (Les 150 lasers sont divisés en trois groupes) et le local Jean-Baptiste Bernaz pointe en neuvième position. Le groupe de Félix Pruvot n’a pour sa part pas couru aujourd’hui.
Handivoile :
Comme à son habitude, l’handivoile française se place aux avants postes. Damien Seguin, vainqueur de l’édition 2009, prend la deuxième place alors que Bruno Jourdren, en Sonar, s’impose sur l’unique manche du jour.
Point météo :
Pour lundi 26 avril, les conditions s’annoncent calmes encore une fois. Le vent de secteur Sud – Est tournera au Sud Ouest dans l’après midi. Le thermique pourrait apporter le petit supplément de vent qui faciliterait le travail des comités de course.
En direct du port de Hyères
Xavier Rohart (Star) :
"On a pris un peu de risques en tout début de manche. Nous étions du bon côté de la flotte et ça a payé tout de suite. Ensuite, nous avons eu assez de vitesse pour rester devant. C’est un peu tôt pour tirer des conclusions mais ce résultat est à l’image de ce qu’on fait depuis un an environ. C'est-à-dire que quand on est devant, ça va. Pendant le championnat du monde, nous avons gagné une manche avec plus de quatre minutes d’avance. On va voir avec la suite si le travail sur la préparation mentale et la prise de décision a payé."
Claire Leroy (Matc Racing Féminin) :
"On a pris de bons repères. Claire (Pruvot) navigue pour la première fois avec nous dans cette configuration et tout s’est bien passé. Sur les deux matchs gagnés aujourd’hui, nous avons gagné le départ et nous nous sommes ensuite concentrées sur la vitesse. Dans ces conditions de vent faible, c’est important de ne pas faire trop de manœuvres pour ne pas perdre de vitesse. C’est sympa d’être à Hyères, il y a tout le monde et on voit des têtes connues mais c’est avant tout une régate importante. On n’est pas là pour faire du tourisme !"
Bruno Jourdren (Sonar) :
"C’est bien pour une première manche. Nous avons eu des conditions très légères et nous avons réussi à être dans le coup toute la manche. C’était très tendu, ce n’est jamais simple dans les petits airs. Sur le dernier portant, l’Israélien nous a passé mais nous avons finalement franchi la ligne avec une demi-longueur d’avance."
"On a pris un peu de risques en tout début de manche. Nous étions du bon côté de la flotte et ça a payé tout de suite. Ensuite, nous avons eu assez de vitesse pour rester devant. C’est un peu tôt pour tirer des conclusions mais ce résultat est à l’image de ce qu’on fait depuis un an environ. C'est-à-dire que quand on est devant, ça va. Pendant le championnat du monde, nous avons gagné une manche avec plus de quatre minutes d’avance. On va voir avec la suite si le travail sur la préparation mentale et la prise de décision a payé."
Claire Leroy (Matc Racing Féminin) :
"On a pris de bons repères. Claire (Pruvot) navigue pour la première fois avec nous dans cette configuration et tout s’est bien passé. Sur les deux matchs gagnés aujourd’hui, nous avons gagné le départ et nous nous sommes ensuite concentrées sur la vitesse. Dans ces conditions de vent faible, c’est important de ne pas faire trop de manœuvres pour ne pas perdre de vitesse. C’est sympa d’être à Hyères, il y a tout le monde et on voit des têtes connues mais c’est avant tout une régate importante. On n’est pas là pour faire du tourisme !"
Bruno Jourdren (Sonar) :
"C’est bien pour une première manche. Nous avons eu des conditions très légères et nous avons réussi à être dans le coup toute la manche. C’était très tendu, ce n’est jamais simple dans les petits airs. Sur le dernier portant, l’Israélien nous a passé mais nous avons finalement franchi la ligne avec une demi-longueur d’avance."
PORTRAIT - Laurence Manfredi : 100% bizuth
- En voile, vous ne cherchez pas des nanas musclées qui ont la pêche ?
- T’en as déjà fait ?
- Non, mais je suis hyper motivée. Faut m’essayer !
L’échange se déroule au cours d’une réunion des douanes entre Laurence Manfredi, lanceuse de poids émérite, un brin culottée, et Anne Le Helley, représentante française en Yngling pour les deux dernières olympiades. Aussi étrange soit-il, c’est le point de départ de Laurence dans la voile, plus habituée à la stabilité des stades d’athlétisme, où elle a glané une quinzaine de titres nationaux, qu’à l’incertitude de l’environnement nautique que cette montagnarde d’origine ne connaît absolument pas.
"C’est un pari" explique Anne qui a réfléchi par deux fois avant d’embarquer cette néophyte à bord de son Elliott, séduite par le gabarit d’exception mais peu enchantée à l’idée de devenir mono de voile le temps de former la nouvelle arrivée. A l’évocation de la première sortie, au mois de décembre dernier, tout l’équipage se gondole. Catherine, l’équipière se rappelle d’une Laurence étonnée que l’on puisse sortir un jour de pluie. Anne, la barreuse pense aux déplacements lourds de Laurence qui, à chaque mouvement, colle le monocoque au plan d’eau. "Elle est habituée à assurer ses appuis. Au début, ça faisait un peu BOUM BOUM quand elle se déplaçait alors qu’il faut au contraire être fluide pour ne pas casser la vitesse."
De son côté, la lanceuse parle d’un interminable bord de près, véritable torture pour des abdominaux loin d’être rodés à ces efforts. "C’était digne d’un bizutage, à la fin de la journée, je me suis demandée si je n’allais pas rentrer." L’heure est à la remise en question mais l’athlète s’accroche et revoit un à un ses a priori sur les voileux. "Pour moi, c’était des branleurs, en tongues toute la journée, ce n’est vraiment pas le même monde que l’athlétisme. En athlé, tout est codifié, il n’y a jamais de changement" alors que la voile et ses conditions météos demandent une adaptation permanente. De la même manière, les échanges à bord, où les bonnes manières laissent souvent la place à l’efficacité, la déstabilisent sans pour autant lui faire passer le gout de la navigation.
Du côté de l’encadrement, l’accueil a été plutôt réservé : "ils pensaient que je ne resterais pas" explique-t-elle. Les navigations s’enchaînant, l’école de voile est devenue une école de sport et Laurence a surpris son monde par sa capacité d’adaptation à tel point que Philippe Gomez, un des coachs, s’est dit "bluffé" par les progrès réalisés. "On a eu la preuve que quelqu’un qui atteint le haut niveau dans un sport peut transférer ses compétences rapidement, même s’il faut encore des heures de mer avant de tout assimiler" ajoute l’entraîneur.
L’heure n’est pas à la fanfaronnade pour autant et alors que la SOF s’élance, Laurence et ses co-équipières savent qu’il faudra plus de 30 jours de mer pour atteindre le niveau requis sur une épreuve internationale. En attendant, cette étonnante personnalité intrigue sur Hyères. On l’a vu dans les stades, on l’a vu à la télé, déshabillant Gérard Holtz, en direct, dans un moment d’euphorie ou embrassant Nelson Monfort, en direct aussi, un soir de victoire. Elle a aussi dévalé les pistes de bobsleigh un peu plus vite que ses concurrentes à tel point qu’elle est passée à deux doigts des Jeux de Vancouver. Aujourd’hui, c’est la voile qui attire cette touche à tout. Elle se verrait bien poursuivre sur cette voie mais, fidèle à ses engagements, ne s’imagine pas naviguer avec quelqu’un d’autre que Catherine et Anne.
- T’en as déjà fait ?
- Non, mais je suis hyper motivée. Faut m’essayer !
L’échange se déroule au cours d’une réunion des douanes entre Laurence Manfredi, lanceuse de poids émérite, un brin culottée, et Anne Le Helley, représentante française en Yngling pour les deux dernières olympiades. Aussi étrange soit-il, c’est le point de départ de Laurence dans la voile, plus habituée à la stabilité des stades d’athlétisme, où elle a glané une quinzaine de titres nationaux, qu’à l’incertitude de l’environnement nautique que cette montagnarde d’origine ne connaît absolument pas.
"C’est un pari" explique Anne qui a réfléchi par deux fois avant d’embarquer cette néophyte à bord de son Elliott, séduite par le gabarit d’exception mais peu enchantée à l’idée de devenir mono de voile le temps de former la nouvelle arrivée. A l’évocation de la première sortie, au mois de décembre dernier, tout l’équipage se gondole. Catherine, l’équipière se rappelle d’une Laurence étonnée que l’on puisse sortir un jour de pluie. Anne, la barreuse pense aux déplacements lourds de Laurence qui, à chaque mouvement, colle le monocoque au plan d’eau. "Elle est habituée à assurer ses appuis. Au début, ça faisait un peu BOUM BOUM quand elle se déplaçait alors qu’il faut au contraire être fluide pour ne pas casser la vitesse."
De son côté, la lanceuse parle d’un interminable bord de près, véritable torture pour des abdominaux loin d’être rodés à ces efforts. "C’était digne d’un bizutage, à la fin de la journée, je me suis demandée si je n’allais pas rentrer." L’heure est à la remise en question mais l’athlète s’accroche et revoit un à un ses a priori sur les voileux. "Pour moi, c’était des branleurs, en tongues toute la journée, ce n’est vraiment pas le même monde que l’athlétisme. En athlé, tout est codifié, il n’y a jamais de changement" alors que la voile et ses conditions météos demandent une adaptation permanente. De la même manière, les échanges à bord, où les bonnes manières laissent souvent la place à l’efficacité, la déstabilisent sans pour autant lui faire passer le gout de la navigation.
Du côté de l’encadrement, l’accueil a été plutôt réservé : "ils pensaient que je ne resterais pas" explique-t-elle. Les navigations s’enchaînant, l’école de voile est devenue une école de sport et Laurence a surpris son monde par sa capacité d’adaptation à tel point que Philippe Gomez, un des coachs, s’est dit "bluffé" par les progrès réalisés. "On a eu la preuve que quelqu’un qui atteint le haut niveau dans un sport peut transférer ses compétences rapidement, même s’il faut encore des heures de mer avant de tout assimiler" ajoute l’entraîneur.
L’heure n’est pas à la fanfaronnade pour autant et alors que la SOF s’élance, Laurence et ses co-équipières savent qu’il faudra plus de 30 jours de mer pour atteindre le niveau requis sur une épreuve internationale. En attendant, cette étonnante personnalité intrigue sur Hyères. On l’a vu dans les stades, on l’a vu à la télé, déshabillant Gérard Holtz, en direct, dans un moment d’euphorie ou embrassant Nelson Monfort, en direct aussi, un soir de victoire. Elle a aussi dévalé les pistes de bobsleigh un peu plus vite que ses concurrentes à tel point qu’elle est passée à deux doigts des Jeux de Vancouver. Aujourd’hui, c’est la voile qui attire cette touche à tout. Elle se verrait bien poursuivre sur cette voie mais, fidèle à ses engagements, ne s’imagine pas naviguer avec quelqu’un d’autre que Catherine et Anne.
FOCUS - Les transferts sur la SOF
Les passerelles sont nombreuses en voile olympique et les coureurs passent rarement leur vie sur un même support. Pourtant, on est toujours surpris de certains transfuges. Ainsi, beaucoup ont cru à une erreur en voyant Marcelien de Koning, star néerlandaise du 470, inscrite en planche à voile mais la médaillée d’argent à Pékin a bel et bien décidé de consacrer sa prochaine PO à la RS :X.
Autre reconversion spectaculaire, celle de Echavarri et Paz, médaillés d’or en Tornado aux derniers JO. Le multicoque évincé des Jeux, la carrière des Espagnols a pris un sérieux tournant. Le barreur, Fernando est passé du lièvre (le Tornado) à la tortue (le Star). "Cela faisait longtemps que je voulais faire du Star, c’est un bateau très technique, ça représente un sacré challenge" explique celui qui a participé à la dernière Volvo Ocean Race à bord de Telefonica Black. Son équipier, Anton Paz, est resté à bord d’un support rapide, le 49er, où il seconde son frère Carlos sur cette première épreuve internationale. Côté français la principale nouveauté est l’arrivée en Star de Guillaume Florent, médaillé de bronze aux derniers JO en Finn. Associé à Pascal Rambeau, ancien équipier de Xavier Rohart, Guillaume a déjà réalisé une honnête 8ème place à l’occasion de la semaine de Palma. "La question de repartir s’est posée à l’automne dernier. J’ai contacté Pascal pour savoir si ça l’intéressait. Il a pris le temps de la réflexion et m’a finalement donné une réponse positive. Pascal a un savoir-faire en tant qu’équipier qui est énorme" explique l’ex-finniste.
Dernier changement d’importance, celui de Sarah Ayton. La double médaillée en Yngling, maman depuis moins d’un an, a en effet décidé de passer sur un petit bateau : le 470. Avec Saskia Clark, double championne du monde, elles signent une prometteuse 13ème place lors de leur premier essai, à l’occasion de la Rolex Miami OCR. "J’ai bien réflechi avant de prendre ma décision. J’ai mis en balance mon rôle de maman et l’envie de repartir sur une préparation olympique avec la possibilité d’une médaille à Londres" explique-t-elle.
Autre reconversion spectaculaire, celle de Echavarri et Paz, médaillés d’or en Tornado aux derniers JO. Le multicoque évincé des Jeux, la carrière des Espagnols a pris un sérieux tournant. Le barreur, Fernando est passé du lièvre (le Tornado) à la tortue (le Star). "Cela faisait longtemps que je voulais faire du Star, c’est un bateau très technique, ça représente un sacré challenge" explique celui qui a participé à la dernière Volvo Ocean Race à bord de Telefonica Black. Son équipier, Anton Paz, est resté à bord d’un support rapide, le 49er, où il seconde son frère Carlos sur cette première épreuve internationale. Côté français la principale nouveauté est l’arrivée en Star de Guillaume Florent, médaillé de bronze aux derniers JO en Finn. Associé à Pascal Rambeau, ancien équipier de Xavier Rohart, Guillaume a déjà réalisé une honnête 8ème place à l’occasion de la semaine de Palma. "La question de repartir s’est posée à l’automne dernier. J’ai contacté Pascal pour savoir si ça l’intéressait. Il a pris le temps de la réflexion et m’a finalement donné une réponse positive. Pascal a un savoir-faire en tant qu’équipier qui est énorme" explique l’ex-finniste.
Dernier changement d’importance, celui de Sarah Ayton. La double médaillée en Yngling, maman depuis moins d’un an, a en effet décidé de passer sur un petit bateau : le 470. Avec Saskia Clark, double championne du monde, elles signent une prometteuse 13ème place lors de leur premier essai, à l’occasion de la Rolex Miami OCR. "J’ai bien réflechi avant de prendre ma décision. J’ai mis en balance mon rôle de maman et l’envie de repartir sur une préparation olympique avec la possibilité d’une médaille à Londres" explique-t-elle.
RÉSULTATS DU JOUR
Résultats 2.4 M Classement général provisoire avant jury après une manche
1: Helena Lucas (Great Britain) 1 points
2: Damien Seguin (Sport Nautique de L'ouest Nantes) 2 points
3: Megan Pascoe (Great Britain) 3 points
4: Barend Kol (The Netherlands) 4 points
5: Bjornar Erikstad (Norway) 5 points
Résultats Sonar Classement général provisoire avant jury après une manche
1: Bruno Jourdren (Club Nautique Carantec) 1 points
2: Dror Cohen (Israel) 2 points
3: Marcel Veen Van de (The Netherlands) 3 points
4: Aleksander Wang-Hansen (Norway) 4 points
5: Shimon Ben Yakov (Israel) 5 points
Résultats Star Classement général provisoire avant jury après une manche
1: Xavier Rohart / Pierre Alex Ponsot (Club Nautique la Pelle / SNO Nantes) 1 points
2: Mate Arapov / Ante Sitic (Croatia) 2 points
3: Guillaume Florent / Pascal Rambeau (Gravelines Gd Fort Philippe V L S/ASPTT) 3 points
4: Eivind Melleby / Petter Morland Ped (Norway) 4 points
5: John Gimson / Ed Greig (Great Britain) 5 points
Plus d'infos et interview audio intégrale sur le site de la Semaine Olympique Française: http://sof.ffvoile.net/
1: Helena Lucas (Great Britain) 1 points
2: Damien Seguin (Sport Nautique de L'ouest Nantes) 2 points
3: Megan Pascoe (Great Britain) 3 points
4: Barend Kol (The Netherlands) 4 points
5: Bjornar Erikstad (Norway) 5 points
Résultats Sonar Classement général provisoire avant jury après une manche
1: Bruno Jourdren (Club Nautique Carantec) 1 points
2: Dror Cohen (Israel) 2 points
3: Marcel Veen Van de (The Netherlands) 3 points
4: Aleksander Wang-Hansen (Norway) 4 points
5: Shimon Ben Yakov (Israel) 5 points
Résultats Star Classement général provisoire avant jury après une manche
1: Xavier Rohart / Pierre Alex Ponsot (Club Nautique la Pelle / SNO Nantes) 1 points
2: Mate Arapov / Ante Sitic (Croatia) 2 points
3: Guillaume Florent / Pascal Rambeau (Gravelines Gd Fort Philippe V L S/ASPTT) 3 points
4: Eivind Melleby / Petter Morland Ped (Norway) 4 points
5: John Gimson / Ed Greig (Great Britain) 5 points
Plus d'infos et interview audio intégrale sur le site de la Semaine Olympique Française: http://sof.ffvoile.net/