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La CPI a émis des mandats d’arrêt contre le président el Béchir pour sa participation présumée à des crimes de guerre, crimes contre l’humanité et crimes de génocide au Darfour.
"La République démocratique du Congo ne devrait pas mettre le président Omar el Béchir à l’abri de la justice internationale. Sa visite en RDC constitue une occasion d’exécuter les mandats d’arrêt et de faire savoir que la justice doit l’emporter", a déclaré Muthoni Wanyeki, directrice régionale pour l’Afrique de l’Est au sein d’Amnesty International.
Dix ans après le début du conflit au Darfour, des violations généralisées et systématiques du droit international relatif aux droits humains et du droit international humanitaire continuent d’être commises. Des civils continuent d’être victimes d’homicides illégaux et d’actes de torture, notamment de viols, et de voir leurs biens pillés. Plus de 460.000 personnes ont été déplacées en 2013 à la suite de violences inter-communautaires et d’affrontements entre les forces gouvernementales et les groupes d’opposition armés.
"La République démocratique du Congo ne devrait pas mettre le président Omar el Béchir à l’abri de la justice internationale. Sa visite en RDC constitue une occasion d’exécuter les mandats d’arrêt et de faire savoir que la justice doit l’emporter", a déclaré Muthoni Wanyeki, directrice régionale pour l’Afrique de l’Est au sein d’Amnesty International.
Dix ans après le début du conflit au Darfour, des violations généralisées et systématiques du droit international relatif aux droits humains et du droit international humanitaire continuent d’être commises. Des civils continuent d’être victimes d’homicides illégaux et d’actes de torture, notamment de viols, et de voir leurs biens pillés. Plus de 460.000 personnes ont été déplacées en 2013 à la suite de violences inter-communautaires et d’affrontements entre les forces gouvernementales et les groupes d’opposition armés.