Les premiers hommes se nourrissaient essentiellement d'une nourriture végétarienne. Ils vivaient de la cueillette, des fruits sauvages, des feuilles, des baies...
À ces époques, la terre ne contenait aucun pesticide, zéro nitrate, rien qui ne puisse modifier la teneur en vitamine, oligo-éléments, fibres... de tous ces aliments naturels.
Quelques hommes vivaient de la chasse, mais le plus souvent, ils mangeaient des insectes ou des petits animaux.
En Amérique du Sud, les Incas mangeaient du cobaye et très rarement du lama. Ils aimaient les fruits et les légumes. En fait, ils avaient développé une très grande connaissance des cycles naturels. Leur observation du ciel et des saisons les avait aidés à devenir de très doués agriculteurs. Ils respectaient la nature et jamais ils ne se seraient permis de la troubler.
Actuellement, des scientifiques se penchent sérieusement sur ces civilisations anciennes et plus précisément sur leurs habitudes culinaires. Ils découvrent avec intérêt que les individus de ces époques lointaines ne contractaient pas de maladies coronariennes ou autres maladies de notre siècle.
Mais alors, que s’est-il passé ?
À l'époque du néolithique, c'est-à-dire il y a environ 6000 ans des changements surviennent et modifient profondément l'alimentation de l'homme. Les céréales sont cultivées et prennent une place prépondérante dans le régime alimentaire.
L'élevage des animaux permet de découvrir une nouvelle alimentation comme de boire du lait. Mais c'est à l'époque de la révolution industrielle que tout se bouscule. En très peu de temps, on s'éloigne de la consommation habituelle des produits frais. On ajoute des conservateurs et des colorants aux aliments. On mange de plus en plus sucré, sans compter l'excès de matière grasse et c'est l'apparition des maladies cardiovasculaires, du diabète et de nombreuses autres maladies.
Faire marche arrière n'est évidemment pas possible, mais aller de l'avant en acceptant d'agir avec conscience reste l'unique solution. Nous pouvons et nous devons changer nos habitudes alimentaires. C'est une question de vie, de santé et de respect des générations à venir.
À ces époques, la terre ne contenait aucun pesticide, zéro nitrate, rien qui ne puisse modifier la teneur en vitamine, oligo-éléments, fibres... de tous ces aliments naturels.
Quelques hommes vivaient de la chasse, mais le plus souvent, ils mangeaient des insectes ou des petits animaux.
En Amérique du Sud, les Incas mangeaient du cobaye et très rarement du lama. Ils aimaient les fruits et les légumes. En fait, ils avaient développé une très grande connaissance des cycles naturels. Leur observation du ciel et des saisons les avait aidés à devenir de très doués agriculteurs. Ils respectaient la nature et jamais ils ne se seraient permis de la troubler.
Actuellement, des scientifiques se penchent sérieusement sur ces civilisations anciennes et plus précisément sur leurs habitudes culinaires. Ils découvrent avec intérêt que les individus de ces époques lointaines ne contractaient pas de maladies coronariennes ou autres maladies de notre siècle.
Mais alors, que s’est-il passé ?
À l'époque du néolithique, c'est-à-dire il y a environ 6000 ans des changements surviennent et modifient profondément l'alimentation de l'homme. Les céréales sont cultivées et prennent une place prépondérante dans le régime alimentaire.
L'élevage des animaux permet de découvrir une nouvelle alimentation comme de boire du lait. Mais c'est à l'époque de la révolution industrielle que tout se bouscule. En très peu de temps, on s'éloigne de la consommation habituelle des produits frais. On ajoute des conservateurs et des colorants aux aliments. On mange de plus en plus sucré, sans compter l'excès de matière grasse et c'est l'apparition des maladies cardiovasculaires, du diabète et de nombreuses autres maladies.
Faire marche arrière n'est évidemment pas possible, mais aller de l'avant en acceptant d'agir avec conscience reste l'unique solution. Nous pouvons et nous devons changer nos habitudes alimentaires. C'est une question de vie, de santé et de respect des générations à venir.