Dans une lettre en date du 23 février, l'organisation a exhorté Samir Dilou, ministre des Droits de l'homme et de la Justice de transition, à revenir sur ses propos du 4 février, dans lesquels il déclarait que l'homosexualité n'était pas un droit humain et était une perversion qui nécessitait un traitement médical.
Répondant à des questions sur la naissance d'un magazine gay en Tunisie, Samir Dilou a aussi affirmé que i["la liberté d'expression a ses limites. Ils [les gays, les lesbiennes et les personnes bisexuelles] ne doivent pas franchir la ligne rouge fixée par notre culture, notre religion et notre civilisation."]i
"Ces commentaires sont extrêmement décevants, en particulier venant de la personne même qui devrait veiller à la protection des droits humains de tous les Tunisiens", a déclaré Hassiba Hadj Sahraoui, directrice adjointe du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d'Amnesty International.
Répondant à des questions sur la naissance d'un magazine gay en Tunisie, Samir Dilou a aussi affirmé que i["la liberté d'expression a ses limites. Ils [les gays, les lesbiennes et les personnes bisexuelles] ne doivent pas franchir la ligne rouge fixée par notre culture, notre religion et notre civilisation."]i
"Ces commentaires sont extrêmement décevants, en particulier venant de la personne même qui devrait veiller à la protection des droits humains de tous les Tunisiens", a déclaré Hassiba Hadj Sahraoui, directrice adjointe du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d'Amnesty International.
Tunisie.mp3 (354.82 Ko)