Logo historique du Web, par Robert Cailliau
A la suite de ce promoteur plusieurs autres radios verront le jour au Burkina Faso, allant des radios privées commerciales, aux radios communautaires et religieuses.
Cependant, la floraison de ces radios ne s’est pas très souvent accompagnée d’une mise à niveau technologique, c’est le cas par exemple des "TIC". Il ressort d’une étude réalisé en 2008 par l’Institut Panos, que l’utilisation des TIC est beaucoup focalisée sur internet avec un usage plus accentué de la messagerie et de la recherche sur internet.
L’analogique est toujours utilisée dans quelques rares cas, la majorité des radios s’étant converties au numérique. Ce qui entraîne du même coup une forte utilisation de consommables numériques tels que les CD, ou les bandes des minidisques. L’utilisation des cassettes audio tend à se raréfier dans la majeure partie des stations radios
Le paysage radiophonique au Burkina Faso est riche et variée dans son ensemble, cette richesse liée à la diversité des programmes et aux statuts des différentes stations radios, ne suit pas malheureusement l’évolution technologique qui permettrait une meilleure visibilité, et une augmentation de l’audience de ces radios.
Les équipements informatiques sont en nombre insuffisants au sein de la majorité des radios par rapport au nombre des agents. Au début de l’introduction des TIC dans le pays beaucoup de radios avaient ouvert des sites web, aujourd’hui très peu de ces sites web sont régulièrement mis à jour, tout comme la statistique des visites des sites est pratiquement inconnue par les responsables des radios.
Le streaming est utilisé par une minorité de stations de radios, dont la majorité est hébergée à l’extérieur du pays. Le podcasting est totalement inexistant pour des raisons de non maîtrise technique du système, certaines radios prévoient dans le court et long terme de mettre en place ce système au regard de la demande de plus en plus forte des auditeurs.
Le satellite est seulement utilisé par les radios du Burkina Faso pour recevoir des programmes. Du reste le nombre des radios recevant des programmes par satellite est très limité, à peine une dizaine sur la centaine que compte le Burkina. La non utilisation de cette technologie est beaucoup plus liée à un manque d’informations, de partenariat qu’à toute autre chose, même si certains responsables pensent que le coût serait élevé.
Cependant, la floraison de ces radios ne s’est pas très souvent accompagnée d’une mise à niveau technologique, c’est le cas par exemple des "TIC". Il ressort d’une étude réalisé en 2008 par l’Institut Panos, que l’utilisation des TIC est beaucoup focalisée sur internet avec un usage plus accentué de la messagerie et de la recherche sur internet.
L’analogique est toujours utilisée dans quelques rares cas, la majorité des radios s’étant converties au numérique. Ce qui entraîne du même coup une forte utilisation de consommables numériques tels que les CD, ou les bandes des minidisques. L’utilisation des cassettes audio tend à se raréfier dans la majeure partie des stations radios
Le paysage radiophonique au Burkina Faso est riche et variée dans son ensemble, cette richesse liée à la diversité des programmes et aux statuts des différentes stations radios, ne suit pas malheureusement l’évolution technologique qui permettrait une meilleure visibilité, et une augmentation de l’audience de ces radios.
Les équipements informatiques sont en nombre insuffisants au sein de la majorité des radios par rapport au nombre des agents. Au début de l’introduction des TIC dans le pays beaucoup de radios avaient ouvert des sites web, aujourd’hui très peu de ces sites web sont régulièrement mis à jour, tout comme la statistique des visites des sites est pratiquement inconnue par les responsables des radios.
Le streaming est utilisé par une minorité de stations de radios, dont la majorité est hébergée à l’extérieur du pays. Le podcasting est totalement inexistant pour des raisons de non maîtrise technique du système, certaines radios prévoient dans le court et long terme de mettre en place ce système au regard de la demande de plus en plus forte des auditeurs.
Le satellite est seulement utilisé par les radios du Burkina Faso pour recevoir des programmes. Du reste le nombre des radios recevant des programmes par satellite est très limité, à peine une dizaine sur la centaine que compte le Burkina. La non utilisation de cette technologie est beaucoup plus liée à un manque d’informations, de partenariat qu’à toute autre chose, même si certains responsables pensent que le coût serait élevé.
Répartition des radios en fonction du statut
Chiffes clés
Au total on dénombrait en 2008:
• 11 radios publiques au Burkina Faso dont : une nationale, deux régionales, six locales, et deux publiques de proximité.
• 19 radios privées commerciales.
• 19 radios confessionnelles.
• 23 radios associatives et communautaires
• 04 radios privées internationales
Soit un total de 76 radios pour une population d’environ 14 millions d’habitants, soit environ une radio pour 190 000 habitants.
Évolution technologique
L’évolution technologique des radios, a connu un boom avec la vulgarisation des TIC dans les grands centres urbains du pays. Du fait de cette vulgarisation un grand nombre de radio allient parfaitement l’analogique et le numérique (53,8%), d’autres uniquement le numérique (30,8%) , et une infime partie fonctionne seulement à l’analogique actuellement (15,4%).
Source : Etude "Radios et NTIC en Afrique de l’Ouest, connectivité et usages : le cas du Burkina Faso". Institut Panos Afrique de l’Ouest.
Au total on dénombrait en 2008:
• 11 radios publiques au Burkina Faso dont : une nationale, deux régionales, six locales, et deux publiques de proximité.
• 19 radios privées commerciales.
• 19 radios confessionnelles.
• 23 radios associatives et communautaires
• 04 radios privées internationales
Soit un total de 76 radios pour une population d’environ 14 millions d’habitants, soit environ une radio pour 190 000 habitants.
Évolution technologique
L’évolution technologique des radios, a connu un boom avec la vulgarisation des TIC dans les grands centres urbains du pays. Du fait de cette vulgarisation un grand nombre de radio allient parfaitement l’analogique et le numérique (53,8%), d’autres uniquement le numérique (30,8%) , et une infime partie fonctionne seulement à l’analogique actuellement (15,4%).
Source : Etude "Radios et NTIC en Afrique de l’Ouest, connectivité et usages : le cas du Burkina Faso". Institut Panos Afrique de l’Ouest.