Menace terroriste toujours présente à Bamako.mp3 (121.22 Ko)
Cet attentat a également fait près d'une dizaine de blessés graves. La communauté internationale a condamné ces actes. François Hollande les dénonce "avec la plus grande force", tout comme le chef de la diplomatie belge, Didier Reynders.
Le déroulement de cet attentat reste encore à éclaircir. Un petit commando aurait mené, peu après minuit, une attaque rapide sur le bar La Terrasse, un établissement très fréquenté par les expatriés et un lieu de villégiature réputé dans la capitale malienne. L'accès au bar se faisant par un escalier, les terroristes y ont croisé leur première victime, le gardien d'immeuble, avant d'ouvrir le feu sur la clientèle. Des témoins affirment que quatre personnes ont pris la fuite dans un pick-up en criant en arabe "Allah Akbar" (Dieu est grand).
Le climat tournait déjà à la psychose dans Bamako, depuis l'implantation de groupes proches de cellules islamistes et l'intervention militaire française débutée en 2013. Bon nombre de ressortissants français avaient choisi de limiter leurs déplacements dans les lieux d'habitude très fréquentés de la capitale. C'est donc un appel à la prudence qui est réitéré par les autorités de l'ambassade de France à Bamako.
Voir également notre publication précédente
Le déroulement de cet attentat reste encore à éclaircir. Un petit commando aurait mené, peu après minuit, une attaque rapide sur le bar La Terrasse, un établissement très fréquenté par les expatriés et un lieu de villégiature réputé dans la capitale malienne. L'accès au bar se faisant par un escalier, les terroristes y ont croisé leur première victime, le gardien d'immeuble, avant d'ouvrir le feu sur la clientèle. Des témoins affirment que quatre personnes ont pris la fuite dans un pick-up en criant en arabe "Allah Akbar" (Dieu est grand).
Le climat tournait déjà à la psychose dans Bamako, depuis l'implantation de groupes proches de cellules islamistes et l'intervention militaire française débutée en 2013. Bon nombre de ressortissants français avaient choisi de limiter leurs déplacements dans les lieux d'habitude très fréquentés de la capitale. C'est donc un appel à la prudence qui est réitéré par les autorités de l'ambassade de France à Bamako.
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