On veut bien le croire
Car cette pensée à elle seule résume l'état d'esprit avec lequel Woerth a concocté sa réforme des retraites. En particulier en prêtant aux femmes cette même capacité pour travailler jusqu'à 67 ans, afin d'obtenir le taux plein qui leur revenait jusque là péniblement à 65.
Pourtant rien n'est plus éphémère et variable justement que la capacité de résistance (les femmes n'ayant déjà pas du tout le même gabarit). Cependant notre société machiste en diable, ne voit aucun mal à se qu'elles travaillent 2 fois plus, dès l'adolescence dans le meilleur des cas. En effet, qui est mis à contribution pour aider aux tâches ménagères comme aux courses, toujours trop lourdes et aux files d'attentes éreintantes.
Dans son discours inaugural, le président Sarkozy avait prêché pour une amélioration de la condition féminine. Or, le moment venu, lui aussi semble avoir jugé égalitaire que bon nombre d'entre elles doivent s'échiner dans les ingrats petits boulots proposés sans vergogne aux seniors bac + 3/4.
Ainsi, toutes les tâches effectuées "Consensuelle-Ment" par les femmes travailleuses, mariées ou non, afin de : blanchir, nourrir, entretenir, recevoir, élever... N' est pas pris en compte lorsque, comme chantait un poète "L'heure de la retraite sonne".
Faut-il voir dans cet éternel marathon, l'origine sportive d'une meilleure longévité que leurs compagnons ! C'est possible, néanmoins, il y a une à ce travail au black,et, une retraite égalitaire doit tenir compte de ces efforts du quotidien.
Une prise de conscience de la retraite des femmes travailleuses s'impose. Et ce n'est pas en évinçant volontairement cette catégorie du spot télé diffusé part le gouvernement que le problème se résoudra!
Woerth a raté sa réforme par manque de connaissance du dossier, de réflexions, et, disons-le de recherche de fonds.
En effet, comment a-t-il pu louper de mettre à contribution le 3e âge nanti, percevant d'importantes retraites depuis 30/40/50 ans. Il s'agit là d'un public dépensant peu car réduit à peu de mobilité ou de besoins. Donc, n'ayant pas à l'inverse des autres à souffrir d'un effort de guerre.
Ce public ne boursicote pas non plus, mais les donneurs d'ordres s'en chargent pour eux et craque allégrement le butin de ces gros épargnants...
La récente découverte des pertes abyssales de la société gérant la fortune de Mme Bettencourt en est l'exemple le plus flagrant.
D'où, de causalité en amalgame (pas si infondé que ça) le milliard accordé au fil des années, à l'ami et artiste Bannier, ne choque personne. D'autant qu'il en fait profiter le commerce de l'art, les entreprises de travaux ainsi qu'un brillantissime comédien. Qui pour le coup, lui au poins, échappe au sinistre horizon d'une retrait à 700 euros talent compris.
Pourtant rien n'est plus éphémère et variable justement que la capacité de résistance (les femmes n'ayant déjà pas du tout le même gabarit). Cependant notre société machiste en diable, ne voit aucun mal à se qu'elles travaillent 2 fois plus, dès l'adolescence dans le meilleur des cas. En effet, qui est mis à contribution pour aider aux tâches ménagères comme aux courses, toujours trop lourdes et aux files d'attentes éreintantes.
Dans son discours inaugural, le président Sarkozy avait prêché pour une amélioration de la condition féminine. Or, le moment venu, lui aussi semble avoir jugé égalitaire que bon nombre d'entre elles doivent s'échiner dans les ingrats petits boulots proposés sans vergogne aux seniors bac + 3/4.
Ainsi, toutes les tâches effectuées "Consensuelle-Ment" par les femmes travailleuses, mariées ou non, afin de : blanchir, nourrir, entretenir, recevoir, élever... N' est pas pris en compte lorsque, comme chantait un poète "L'heure de la retraite sonne".
Faut-il voir dans cet éternel marathon, l'origine sportive d'une meilleure longévité que leurs compagnons ! C'est possible, néanmoins, il y a une à ce travail au black,et, une retraite égalitaire doit tenir compte de ces efforts du quotidien.
Une prise de conscience de la retraite des femmes travailleuses s'impose. Et ce n'est pas en évinçant volontairement cette catégorie du spot télé diffusé part le gouvernement que le problème se résoudra!
Woerth a raté sa réforme par manque de connaissance du dossier, de réflexions, et, disons-le de recherche de fonds.
En effet, comment a-t-il pu louper de mettre à contribution le 3e âge nanti, percevant d'importantes retraites depuis 30/40/50 ans. Il s'agit là d'un public dépensant peu car réduit à peu de mobilité ou de besoins. Donc, n'ayant pas à l'inverse des autres à souffrir d'un effort de guerre.
Ce public ne boursicote pas non plus, mais les donneurs d'ordres s'en chargent pour eux et craque allégrement le butin de ces gros épargnants...
La récente découverte des pertes abyssales de la société gérant la fortune de Mme Bettencourt en est l'exemple le plus flagrant.
D'où, de causalité en amalgame (pas si infondé que ça) le milliard accordé au fil des années, à l'ami et artiste Bannier, ne choque personne. D'autant qu'il en fait profiter le commerce de l'art, les entreprises de travaux ainsi qu'un brillantissime comédien. Qui pour le coup, lui au poins, échappe au sinistre horizon d'une retrait à 700 euros talent compris.