"La ville de Nice n'a pas été retenue par le CNOSF pour représenter la France à l'organisation des Jeux Olympiques d'hiver de 2018, alors que le rapport paru vendredi annonçait la candidature niçoise en position d'outsider, Nice est finalement entrée dans la cour des grands en arrivant en deuxième position devant Grenoble et Pelvoux".
Christian Estrosi, député-maire de Nice et président de Nice Côte d'Azur, nous conviait ce mercredi soir à 18h au Palais Sarde, siège de la candidature, pour remercier tous ceux et celles qui se sont engagés aux côtés de Nice et surtout les sportifs qui nous ont soutenu de toutes leurs forces pour mener à bien cette campagne, se félicitant de l'engouement ressenti quelque soit l'appartenence politique.
Ensuite, donner quelques éclaircissements sur le déroulé de cette campagne, égratignant les jurés du CNOSF sur leurs annotations aux questions posées, notamment sur l'absence de soutien de la ville d'Auron dont le maire, Thérèse Fabron, pour l'épreuve de descente de ski, ignorant que Saint-Etienne de Tinée fait partie de cette même commune, préférant l'aéroport de Genêve à celui de Nice, etc...
Christian Estrosi a tenu à remercier quelques journalistes qui flairant des anomalies ont perms la mise en lumière de connivences sur certains décideurs du Comité National avec leurs positions publiques ou leur appartenance.
Mais en bon sportif, ils préféraient s'arrêter sur le bon côté des choses, l'expérience acquise à remplir un dossier international et sa décision de positionner Nice dans l'organisation de grands évènements sportifs, championnat du monde de patinage, championnat d'Europe de gymnastique en 2012.
"Mais une chose est sure, cette candidature a permis de faire connaître nos montagnes ! Chacun sait aujourd'hui que l'on peut skier dans les Alpes du Sud, sur un domaine qui bénéficie d'un enneigement et de conditions climatiques exceptionnels".
Il rappelait le soutien au projet de Michel Vauzelle, président du Conseil régional des Bouches du Rhône, des 152maires du département sur 164, le résultat du sondage public donnait 8O% d'avis favorable "non seulement on est pour, mais on y croit, et surtout l'appui et l'action de Marielle Goitschel, championne du monde en 1962, la skieuse la plus médaillée "(une des rares présente avec Gaston Franco à cette conférence)," mais il nous manque l'absence de soutien de poids lourd politique à l'instar des villes concurrentes".
Rêvant de faire de sa ville, Nice, la Capitale du Sport, Christian Estrosi concluait:
"l'aventure ne s'arrête pas là, ni pour Nice, ni pour la France, la ville d'Annecy peut compter sur notre soutien afin que la France ait l'honneur d'accueillir les Jeux Olympiques sur son territoire".
Nous réfléchissons à une possible candidature pour l'organisation des Jeux Olympiques et paralympiques d'été 2020 et 2024.
Christian Estrosi, député-maire de Nice et président de Nice Côte d'Azur, nous conviait ce mercredi soir à 18h au Palais Sarde, siège de la candidature, pour remercier tous ceux et celles qui se sont engagés aux côtés de Nice et surtout les sportifs qui nous ont soutenu de toutes leurs forces pour mener à bien cette campagne, se félicitant de l'engouement ressenti quelque soit l'appartenence politique.
Ensuite, donner quelques éclaircissements sur le déroulé de cette campagne, égratignant les jurés du CNOSF sur leurs annotations aux questions posées, notamment sur l'absence de soutien de la ville d'Auron dont le maire, Thérèse Fabron, pour l'épreuve de descente de ski, ignorant que Saint-Etienne de Tinée fait partie de cette même commune, préférant l'aéroport de Genêve à celui de Nice, etc...
Christian Estrosi a tenu à remercier quelques journalistes qui flairant des anomalies ont perms la mise en lumière de connivences sur certains décideurs du Comité National avec leurs positions publiques ou leur appartenance.
Mais en bon sportif, ils préféraient s'arrêter sur le bon côté des choses, l'expérience acquise à remplir un dossier international et sa décision de positionner Nice dans l'organisation de grands évènements sportifs, championnat du monde de patinage, championnat d'Europe de gymnastique en 2012.
"Mais une chose est sure, cette candidature a permis de faire connaître nos montagnes ! Chacun sait aujourd'hui que l'on peut skier dans les Alpes du Sud, sur un domaine qui bénéficie d'un enneigement et de conditions climatiques exceptionnels".
Il rappelait le soutien au projet de Michel Vauzelle, président du Conseil régional des Bouches du Rhône, des 152maires du département sur 164, le résultat du sondage public donnait 8O% d'avis favorable "non seulement on est pour, mais on y croit, et surtout l'appui et l'action de Marielle Goitschel, championne du monde en 1962, la skieuse la plus médaillée "(une des rares présente avec Gaston Franco à cette conférence)," mais il nous manque l'absence de soutien de poids lourd politique à l'instar des villes concurrentes".
Rêvant de faire de sa ville, Nice, la Capitale du Sport, Christian Estrosi concluait:
"l'aventure ne s'arrête pas là, ni pour Nice, ni pour la France, la ville d'Annecy peut compter sur notre soutien afin que la France ait l'honneur d'accueillir les Jeux Olympiques sur son territoire".
Nous réfléchissons à une possible candidature pour l'organisation des Jeux Olympiques et paralympiques d'été 2020 et 2024.