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Cet ancien technicien en génie nucléaire a purgé une peine de 18 ans d’emprisonnement, dont les 11 premières à l’isolement, pour avoir divulgué à des journalistes, dans les années 1980, des informations sur l’arsenal nucléaire d’Israël.
Depuis sa remise en liberté en 2004, Mordechai Vanunu a été sous surveillance policière en vertu d’ordres militaires régulièrement renouvelés. Il lui est notamment interdit de quitter le pays et de prendre part à des discussions sur Internet et il doit demander une autorisation pour communiquer avec des étrangers, y compris avec des journalistes.
"La punition que les autorités continuent à imposer à Mordechai Vanunu semble être purement vindicative. Leur argument, à savoir que ces sévères restrictions sont nécessaires pour des raisons de sûreté nationale, sont absurdes", a déclaré Avner Gidron, conseiller principal en matière de politique à Amnesty International.
Depuis sa remise en liberté en 2004, Mordechai Vanunu a été sous surveillance policière en vertu d’ordres militaires régulièrement renouvelés. Il lui est notamment interdit de quitter le pays et de prendre part à des discussions sur Internet et il doit demander une autorisation pour communiquer avec des étrangers, y compris avec des journalistes.
"La punition que les autorités continuent à imposer à Mordechai Vanunu semble être purement vindicative. Leur argument, à savoir que ces sévères restrictions sont nécessaires pour des raisons de sûreté nationale, sont absurdes", a déclaré Avner Gidron, conseiller principal en matière de politique à Amnesty International.