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La Cour suprême a commué les condamnations à mort de Suresh, Ramji, Bilavendran, Simon, Gnanprakasham, Meesekar Madaiah, Praveen Kumar, Gurmeet Singh, Sonia Chaudhury, Sanjeev Chaudhury, Jafar Ali, Shivu et Jadeswamy, en raison des délais allant de cinq à 12 ans enregistrés dans le rejet de leurs recours en grâce par le président.
En outre, la Cour a commué les condamnations à mort de Sundar Singh et Magan Lal Barela, au motif qu’ils souffrent de troubles mentaux.
"Tout en reconnaissant qu’il est nécessaire de trouver un équilibre entre les droits des accusés et ceux des victimes, cette décision historique réaffirme les droits garantis aux condamnés à mort au titre de la Constitution indienne, du droit et des textes internationaux. Ce jugement met l’accent sur les droits fondamentaux de toutes les personnes et doit faire avancer le pays vers l’abolition de la peine de mort", a déclaré G. Ananthapadmanabhan, directeur d’Amnesty International Inde.
En outre, la Cour a commué les condamnations à mort de Sundar Singh et Magan Lal Barela, au motif qu’ils souffrent de troubles mentaux.
"Tout en reconnaissant qu’il est nécessaire de trouver un équilibre entre les droits des accusés et ceux des victimes, cette décision historique réaffirme les droits garantis aux condamnés à mort au titre de la Constitution indienne, du droit et des textes internationaux. Ce jugement met l’accent sur les droits fondamentaux de toutes les personnes et doit faire avancer le pays vers l’abolition de la peine de mort", a déclaré G. Ananthapadmanabhan, directeur d’Amnesty International Inde.