Nature
L’ornithorynque et moi
Que vient faire l'ornithorynque
Sans aucun doute rien
Que l’on s’en convainque,
Sinon un esprit bergsonien.
Les images défilent
Des nuages amarils
Apparaissent dans mon âme sensitive
Troublant ma vie unitive.
Laisser moi vous dire
Ce que vous savez,
Que les pensées
Ne s’arrêteront jamais de fleurir.
Quelque soient les endroits,
Rien ne tuera les voix,
Des canards enchainés
Dans la mare des libertés.
Où vont les larmes des peuples,
Quand le vent les sème?
À l’égoïsme, humain
Sur la voie sans lendemain.
Ce qui au hasard à l'égard des êtres
Est un dessein en regard des espoirs
De certains et du désespoir des autres,
Condamnant la vie à disparaître.
Ornithorynque, animal mammifère,
De la terre, vers les hautes sphères
Complexe de l’homme voulant dominer,
Entre rêves et fantasmes le désordre.
J'oublie ce qui me fait honte
Je rêve de sommeil en fuite
Je ne peux pas
Imaginer que les gens
Cessent d’errer dans la vie.
Il m’arrive de penser un instant
À des choses comme la paix,
Le repos,
Et peut-être
Même la tendresse.
Ces trois fleurs
Brillant dans mon souvenir,
Conservées intacte dans les yeux des
hommes.
Les enfants ont-ils besoin d’images
Dessinées quelque part?
De pétales blancs
Disposés sur un banc
Pour leurs éviter un cauchemar.
Le monde réduit à un seul bois noir
Que l’on ne cesse de voir.
Quelqu'un, ou quelque chose
Mais peu importe qui, ou quoi
En habite ma tête,
Et cause comme si c'était une maison
vide.
Est ce, que l’on doit rêver
De la terre brûlée,
Un monticule de poussière
Au début du siècle,
Ou à la fin des années.
Il n'y a pas longtemps,
Entre la vie et l’art,
Entre la vie et la culture,
Entre la vie et le feu
L’homme était fait de l’étoffe des
rêves.
Nature, ma nature
Quelle détresse S’est sur
Dut à L’homme immature
Provoquant tes blessures,
Comme un hirudiniculteur,
Afin de te sucer ton sang
Dans un énorme bang,
Occasionné par un gang
Pollueur.
Nature déchirée,
Mortellement blessée
Il ne faut pas te retourner,
Sur les pauvres ères
Qui eux sont sincères
Raz de marées
Tsunamis,
Volcans
Que vient faire l'ornithorynque
Sans aucun doute rien
Que l’on s’en convainque,
Sinon un esprit bergsonien.
Les images défilent
Des nuages amarils
Apparaissent dans mon âme sensitive
Troublant ma vie unitive.
Laisser moi vous dire
Ce que vous savez,
Que les pensées
Ne s’arrêteront jamais de fleurir.
Quelque soient les endroits,
Rien ne tuera les voix,
Des canards enchainés
Dans la mare des libertés.
Où vont les larmes des peuples,
Quand le vent les sème?
À l’égoïsme, humain
Sur la voie sans lendemain.
Ce qui au hasard à l'égard des êtres
Est un dessein en regard des espoirs
De certains et du désespoir des autres,
Condamnant la vie à disparaître.
Ornithorynque, animal mammifère,
De la terre, vers les hautes sphères
Complexe de l’homme voulant dominer,
Entre rêves et fantasmes le désordre.
J'oublie ce qui me fait honte
Je rêve de sommeil en fuite
Je ne peux pas
Imaginer que les gens
Cessent d’errer dans la vie.
Il m’arrive de penser un instant
À des choses comme la paix,
Le repos,
Et peut-être
Même la tendresse.
Ces trois fleurs
Brillant dans mon souvenir,
Conservées intacte dans les yeux des
hommes.
Les enfants ont-ils besoin d’images
Dessinées quelque part?
De pétales blancs
Disposés sur un banc
Pour leurs éviter un cauchemar.
Le monde réduit à un seul bois noir
Que l’on ne cesse de voir.
Quelqu'un, ou quelque chose
Mais peu importe qui, ou quoi
En habite ma tête,
Et cause comme si c'était une maison
vide.
Est ce, que l’on doit rêver
De la terre brûlée,
Un monticule de poussière
Au début du siècle,
Ou à la fin des années.
Il n'y a pas longtemps,
Entre la vie et l’art,
Entre la vie et la culture,
Entre la vie et le feu
L’homme était fait de l’étoffe des
rêves.
Nature, ma nature
Quelle détresse S’est sur
Dut à L’homme immature
Provoquant tes blessures,
Comme un hirudiniculteur,
Afin de te sucer ton sang
Dans un énorme bang,
Occasionné par un gang
Pollueur.
Nature déchirée,
Mortellement blessée
Il ne faut pas te retourner,
Sur les pauvres ères
Qui eux sont sincères
Raz de marées
Tsunamis,
Volcans