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Au cours des deux derniers jours, au moins 20 personnes ont été arrêtées par la police dans plusieurs ville de la Chine continentale pour avoir publié sur Internet des photos contenant des messages de soutien aux manifestants, rasé leur tête en signe de solidarité ou prévu de se rendre à Hong Kong pour participer aux manifestations.
Une soixantaine d’autres ont été "invitées à prendre le thé", c’est-à-dire convoquées par les autorités pour être interrogées.
"Le coup de filet visant les militants en Chine continentale ne fait que souligner les raisons pour lesquelles de nombreux habitants de Hong Kong craignent l’emprise croissante de Pékin sur les affaires de leur ville. Les libertés fondamentales qu’exercent actuellement des centaines de milliers de personnes à Hong Kong continuent d’être déniées aux citoyens qui se trouvent sur le continent", a déclaré William Nee, spécialiste de la Chine au sein d’Amnesty International.
Amnesty International sait que la police a arrêté des personnes à Pékin, dans la province du Jiangsu et dans les villes de Guangzhou (Canton) et Shenzhen, qui sont proches de Hong Kong.
Les censeurs de l’État chinois ont tenté d’empêcher toute mention sur Internet des manifestations en faveur de la démocratie. La plateforme de partage de photos Instagram a été interdite en Chine continentale mardi 30 septembre 2014.
Une soixantaine d’autres ont été "invitées à prendre le thé", c’est-à-dire convoquées par les autorités pour être interrogées.
"Le coup de filet visant les militants en Chine continentale ne fait que souligner les raisons pour lesquelles de nombreux habitants de Hong Kong craignent l’emprise croissante de Pékin sur les affaires de leur ville. Les libertés fondamentales qu’exercent actuellement des centaines de milliers de personnes à Hong Kong continuent d’être déniées aux citoyens qui se trouvent sur le continent", a déclaré William Nee, spécialiste de la Chine au sein d’Amnesty International.
Amnesty International sait que la police a arrêté des personnes à Pékin, dans la province du Jiangsu et dans les villes de Guangzhou (Canton) et Shenzhen, qui sont proches de Hong Kong.
Les censeurs de l’État chinois ont tenté d’empêcher toute mention sur Internet des manifestations en faveur de la démocratie. La plateforme de partage de photos Instagram a été interdite en Chine continentale mardi 30 septembre 2014.