Cambodge.mp3 (282.23 Ko)
"Il faut immédiatement libérer les deux hommes injustement condamnés et emprisonnés pour le meurtre, en 2004, du syndicaliste de premier plan Chea Vichea", a déclaré Amnesty International.
À la suite d'une campagne menée par des groupes de défense des droits humains, la Cour suprême avait libéré les deux hommes sous caution le 31 décembre 2008 et ordonné la tenue d'un nouveau procès. Mais le 27 décembre 2012, quatre ans après leur libération provisoire, la cour d'appel a confirmé le premier verdict et les a renvoyés en prison, bien qu'aucun élément nouveau n'ait été présenté. Les deux hommes ont fait appel de cette décision.
"Au vu de l'enquête entachée de graves irrégularités, du procès manifestement inéquitable et de l'absence de preuve, ces deux hommes n'auraient jamais dû être condamnés", a affirmé Rupert Abbott, chercheur sur le Cambodge, le Laos et le Viêt-Nam à Amnesty International.
À la suite d'une campagne menée par des groupes de défense des droits humains, la Cour suprême avait libéré les deux hommes sous caution le 31 décembre 2008 et ordonné la tenue d'un nouveau procès. Mais le 27 décembre 2012, quatre ans après leur libération provisoire, la cour d'appel a confirmé le premier verdict et les a renvoyés en prison, bien qu'aucun élément nouveau n'ait été présenté. Les deux hommes ont fait appel de cette décision.
"Au vu de l'enquête entachée de graves irrégularités, du procès manifestement inéquitable et de l'absence de preuve, ces deux hommes n'auraient jamais dû être condamnés", a affirmé Rupert Abbott, chercheur sur le Cambodge, le Laos et le Viêt-Nam à Amnesty International.