Le matin du 27 décembre 2012, Yorm Bopha a été condamnée à trois ans de prison pour "violences volontaires". La veille, tard dans la soirée, Tim Sakmony a été reconnue coupable de fausses déclarations et condamnée à une peine de prison avec sursis. Les accusations portées dans les deux cas sont sans fondement et aucun élément de preuve produit lors des procès n’était crédible.
"Ces décisions choquantes montrent pourquoi les Cambodgiens ont raison de ne pas faire confiance à leurs tribunaux", a déploré Rupert Abbott, spécialiste du Cambodge à Amnesty International.
"Ces décisions choquantes montrent pourquoi les Cambodgiens ont raison de ne pas faire confiance à leurs tribunaux", a déploré Rupert Abbott, spécialiste du Cambodge à Amnesty International.
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