Arabie_saoudite.mp3 (273.98 Ko)
"Cette décision est intolérable et ne doit être appliquée sous aucune circonstance", a déclaré Amnesty International.
Des informations récemment relayées par les médias saoudiens ont braqué les projecteurs sur le cas d'Ali al Khawahir, 24 ans, qui aurait été condamné en application du principe de qisas ("réparation") dans la ville d'Al Ahsa et risque de subir une intervention visant à le priver de l'usage de ses jambes, à moins de verser une indemnisation d'un million de riyals saoudiens (soit environ 208.000 euros) à la victime.
Ali al Khawahir aurait poignardé un ami dans le dos vers 2003; cette agression a laissé la victime paralysée des membres inférieurs. Ali al Khawahir avait 14 ans à l'époque.
"Paralyser une personne pour la punir d'un crime serait un acte de torture", a souligné Ann Harrison, directrice adjointe du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord à Amnesty International.
Des informations récemment relayées par les médias saoudiens ont braqué les projecteurs sur le cas d'Ali al Khawahir, 24 ans, qui aurait été condamné en application du principe de qisas ("réparation") dans la ville d'Al Ahsa et risque de subir une intervention visant à le priver de l'usage de ses jambes, à moins de verser une indemnisation d'un million de riyals saoudiens (soit environ 208.000 euros) à la victime.
Ali al Khawahir aurait poignardé un ami dans le dos vers 2003; cette agression a laissé la victime paralysée des membres inférieurs. Ali al Khawahir avait 14 ans à l'époque.
"Paralyser une personne pour la punir d'un crime serait un acte de torture", a souligné Ann Harrison, directrice adjointe du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord à Amnesty International.